Adieu Cherie

Le docteur Dino Barran est de retour d'Algérie. A Marseille, il fait la connaissance de Franz Propp, légionnaire comme lui, et d'Isabelle Moreau. La jeune femme est à la recherche d'un certain Mozart, un ami médecin qu'elle avait fait embaucher dans la société où elle travaille. Dino accepte de prendre sa place et tous les deux filent à Paris, où Propp les rejoint bientôt. Isabelle persuade Dino de l'aider à ouvrir le coffre de la société afin d'y remettre des titres qu'elle avait dérobés. Propp sera de l'aventure

Léo Bertold est un producteur de spectacles, totalement démuni d'argent. Il passe son temps à déménager d'hôtels en hôtels faute d'argent pour payer la note. Lui et sa troupe sont installés à l'hôtel Lucullus, pour mettre au point une pièce : Adieu Berthe. Tout irait pour le mieux, si le directeur général de la chaîne d'hôtels Lucullus n'avait pas débarqué avec ses comptables pour vérifier les comptes de l'hôtel. Dès lors, Léo Bertold va s'ingénier à gagner du temps et berner le directeur. Il s'agit là, d'une farce inventée par le plus énorme de nos farceurs : Francis Blanche. Car si Adieu Berthe est adaptée d'une comédie américaine de John Murray et Allen Boretz, Francis Blanche en fait surtout une constante improvisation, chargeant le texte, ajoutant de longues digressions, des calembours, des plaisanteries ….

Nicolas, fils aine d'une famille riche sous l'emprise d'une mère redoutable femme d'affaires, passe ses journées dans la grande ville voisine. Il y travaille, loin de son milieu d'origine, comme laveur de carreaux et plongeur dans un bistrot. Parfaitement lucide sur son cercle ferme de snobs cupides, il ne remarque pas du tout la bassesse de ses nouvelles relations : commerçants, petits-bourgeois, jeunes voyous. Comment cette ville va-t-elle accueillir ce fanfaron de Nicolas, nonchalant et crédule ?

Anouk, lycéenne de seize ans, suit un jeune homme (Laurel) qui sort de son travail. Un soir, il se rend à l'aéroport le plus proche, direction Salvador de Bahia. Hantée par le désir de voyage dont Laurel est le symbole, elle tente d'en savoir plus sur son départ mystérieux tout en continuant sa vie d'adolescente mouvementée. Obsédé par l'idée de rejoindre New York par voie terrestre, Laurel s'enfonce en Amazonie. La solitude et l'alcool ayant raison de son périple fou, il revient d'urgence en France…

Anouk, lycéenne de seize ans, suit un jeune homme (Laurel) qui sort de son travail. Un soir, il se rend à l'aéroport le plus proche, direction Salvador de Bahia. Hantée par le désir de voyage dont Laurel est le symbole, elle tente d'en savoir plus sur son départ mystérieux tout en continuant sa vie d'adolescente mouvementée. Obsédé par l'idée de rejoindre New York par voie terrestre, Laurel s'enfonce en Amazonie. La solitude et l'alcool ayant raison de son périple fou, il revient d'urgence en France…

Investment bank manager FRANK BERNDSSEN (c. 40), based in Berlin, believes life to be just a matter of careful advance planning. Currently, he works for a Swiss investor group keen on taking over the French nation-wide meat production chain of Charcuteries Albert. If everything turns out well, Frank's bank will earn billions, and he'll be promoted to a director's post.

En toile de fond, une vaste fresque restituant cinquante années de l'histoire de la Chine, des derniers seigneurs de la guerre à la mort de Mao. Une période suivant laquelle nous suivons la destinée de deux acteurs de l'opéra de Pékin et d'une courtisane..

En pleine crise de la cinquantaine, Armand navigue à vue entre son boulot de pharmacien et sa passion pour la magie. Côté coeur, il est tiraillé entre sa femme Hélène et sa maîtresse Alix. Côté famille, il ne sait plus où donner de la tête entre une belle-mère envahissante, des enfants avec qui il ne parvient plus à communiquer, et la petite fille d’Alix dont l’anniversaire se profile à grands pas. Le jour où sa grand-mère Berthe disparaît, le voilà de surcroît chargé d’organiser les funérailles. C’en est trop pour Armand qui se retrouve maintenant à devoir résoudre une grave question existentielle : Mémé, on l’enterre ou on l’incinère ?