Berlin la Cité Des Millions

Krank, un vieil homme vit sur une île artificielle entouré de clones, tous identiques. Krank, hanté par de perpétuels cauchemars, fait enlever des enfants perdus pour leur prendre leurs rêves. Quand Denrée, un petit garçon boulimique, est enlevé, son « grand frère », One, se met en tête de le retrouver avec l'aide de Miette, une fillette débrouillarde, chef des enfants perdus.

En pleine nuit, au milieu d'un champ d'éoliennes, deux informaticiens au chômage renversent un homme surgi de nulle part. A ses côtés, un sac rempli de billets : deux millions d'euros, là, à portée de main et aucun témoin. Que faire ? Appeler la police ou profiter de l'occasion ? Le lendemain, dans un entrepôt à quelques mètres des lieux de l'accident, la police retrouve le corps de Mélodie, une fillette aveugle. Et si l'argent était destiné à payer sa rançon ?

The school boys of two villages in France are fighting. Their trophy are the buttons they will snatch from the enemy. This fight will bring those kids to everlasting friendship…eventually.

Summer 1945. An iron curtain comes down, separating the Communist Eastern bloc and the West, led by the Americans. And nuclear weapons leaves mankind under perpetual threat of a new Apocalypse.

Gabrielle (Helene Hallier), an ambitious but innocent would-be young chorine, trumps a music hall publicity stunt to become the new Parisian nightclub Cinderella. But this lighter-than-champagne-bubbles story is only a pretext for LA REVUE DES REVUES's white-hot, non-stop procession of outrageously and scantily attired exotic dancers, showgirls, and acrobats including the Tiller¹s Follies Girls, Ruth Zackey and the Hoffmann Girls, and danseuse russe Lila Nikolska. But it's Josephine Baker, "the high priestess of primitivism" (J. Hoberman Village Voice), who triumphs in two show stopping numbers in which "her clownish backfield-in-motion Charleston shimmy is unlike anything else in the movie and perhaps unlike anything anyone ever did."

Summer 1945. An iron curtain comes down, separating the Communist Eastern bloc and the West, led by the Americans. And nuclear weapons leaves mankind under perpetual threat of a new Apocalypse.

Summer 1945. An iron curtain comes down, separating the Communist Eastern bloc and the West, led by the Americans. And nuclear weapons leaves mankind under perpetual threat of a new Apocalypse.

The action takes place on Devil's Island, the tropical backwater where the notorious French prison was located. Three convicts, played by Humphrey Bogart, Aldo Ray, and Peter Ustinov, have escaped, and wait only for a ship to leave the next day. In the meantime, they become involved in the financial woes of an island shopkeeper (Leo G. Carroll) and his wife (Joan Bennett) and daughter, whose business is in danger from a rich, nasty relative (Basil Rathbone).

Chaque année aux États-Unis, trente mille hommes, femmes et enfants meurent sous les balles de tueurs, fous ou pas. Les tueries dans les écoles et autres fusillades relancent régulièrement le débat sur la très libérale législation américaine en matière de vente et de détention d’armes. Mais rien ne change, tant est puissant le lobbying des producteurs et marchands d’armes.

De 1962, année de son indépendance, et jusqu'en 1974, l’Algérie aide activement les mouvements anticoloniaux et les révolutionnaires du monde entier. Avec son sens de la formule, Amilcar Cabral, le fondateur du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC) qualifiera le pays de "Mecque des révolutionnaires". Dirigée par le tandem Ahmed Ben Bella (à la présidence) et Houari Boumediene (au stratégique ministère de la Défense), l’Algérie jouit alors du prestige d’une indépendance acquise par les armes…