C'est Beau la Vie Quand on y Pense

Loïc le Tallec, la soixantaine, ne s’est jamais vraiment occupé de son fils. Quand ce dernier disparaît dans un accident de la route, Loïc est dévasté. Il n’a plus qu’une idée en tête : retrouver celui qui vit désormais avec …

Loïc Le Tallec ne s’est jamais vraiment occupé de son fils. Quand ce dernier disparaît dans un accident de la route, Loïc est dévasté. Il n’a plus qu’une idée en tête : retrouver celui qui vit désormais avec le cœur de son fils. Il va tomber sur Hugo, un jeune que ce cœur tout neuf rend totalement déraisonnable et incontrôlable. Leur rencontre promet d'être explosive.

Il y a un paradoxe Watteau. Le peintre des « fêtes galantes » a été reconnu de son vivant, et pourtant toutes ses grandes œuvres sont entourées de mystère, et posent des questions non résolues quant à leur origine, leur sens et leur histoire. Watteau est aujourd’hui un des peintres français sur lequel on a le plus écrit et en même temps celui qui reste le plus mystérieux. Peut être parce qu’il a voulu tout le temps dissimuler ses intentions, qu’il s’est voulu ambigu et qu’il ne s’est jamais livré…

Attention, série événement ! A travers des histoires extraordinaires, des comportements animaliers hors du commun, des images spectaculaires, LIFE – L’Aventure de la vie nous fait découvrir toutes les techniques de survie de la faune et la flore de notre planète…

Vendue dans plus de vingt pays, Minuscule est une production Futurikon, le petit studio d’animation français qui monte (Chasseurs de dragons, Le vilain petit canard et moi). Destinée initialement au marché de la télévision, elle sort sur quatre DVD d’une vingtaine d’épisodes de cinq minutes chacun. Rivalisant d’énergie et d’humour décalé, ce bestiaire est loin de raser les pâquerettes. Il allie des prises de vue réelles de paysages bucoliques estivaux glorifiant la campagne française dans tous ses aspects sensoriels, et des personnages à six pattes (voir plus) animés en 3-D, avec le talent d’une équipe inspiré par la poésie du cadre et l’incroyable potentiel comique de ces petites bestioles. Celles-ci incarnent des sentiments et des tempéraments finalement très humains comme la couardise, la jalousie, mais également le courage et la solidarité, et mettent en scène l’absurdité de l’instinct et ses limites face à l’incongruité des éléments humains (le chewing gum, l’inévitable obstacle de la route…). Chaque insecte qui réapparaît de manière récurrente au fil des trois disques révèle une personnalité intrinsèquement humoristique qui lui est propre : la coccinelle pimbêche qui provoque les mouches et saccage volontairement les toiles de l’araignée, la sauterelle facétieuse qui joue des tours à ses concitoyens en les catapultant loin de sa plante avec une certaine méchanceté gratuite. Les insectes se jouent des tours pendables dans une bonne humeur qui ne faiblit pas au gré des épisodes tout en roulant leurs yeux vides de sens et plein d’incompréhension. Des bouilles craquantes y compris celles des inévitables araignées qui ne sont pas là pour susciter le dégoût ou la crainte.

« L’Écume des jours », la trompette germano-pratine dans la cave du Tabou, « Le déserteur » et « Fais-moi mal », et, peut-être, « J’irai cracher sur vos tombes », polar-brûlot commis par un double américain rageur nommé Vernon Sullivan : même si l’on ne sait pas grand-chose de Boris Vian, décédé à 39 ans, le 23 juin 1959, dans un cinéma des Champs-Élysées, on en connaît généralement cela. Ce film de Philippe Kohly remplit les blancs pour dérouler les multiples fils d’une existence trop brève et très remplie, qui s’apparente à une course contre la montre. « Le temps, le temps, il me cavale au cul comme une charge de uhlans », note dans son journal celui qui, déjà à 33 ans, se sent trop vieux. Car dès l’enfance, où l’on a découvert chez lui une faiblesse cardiaque, qui en fait la proie d’un amour maternel étouffant, il se sait en sursis.

Génie universel, inventeur et philosophe de la Renaissance, Léonard de Vinci (1452-1519) a beaucoup voyagé, beaucoup écrit, beaucoup inventé, mais il a peu peint. Une quinzaine de tableaux seulement, mais une quinzaine de chefs d’œuvre. Le musée du Louvre en compte sept – la plus importante collection de Vinci au monde. Elle comprend « La Belle Ferronnière », « La Sainte Anne », « La Joconde » ou encore « Le Saint Jean Baptiste », et permet par sa diversité de parcourir l’ensemble de la carrière de ce peintre d’exception.

Partagé entre son travail de journaliste à "Tabac Magazine ", sa petite amie avec laquelle il ne parvient pas à avoir un enfant, et ses amis, Simon jongle avec la vie et ses soucis. Par ailleurs, il semblerait aussi que Simon ait des comptes à régler avec son père psychologue, alors qu'il passe le plus clair de son temps à s'occuper de sa grand-mère qui perd la tête et qui ennuie toute la famille. La connaissance de Claire, une jeune voisine délaissée par son mari bien qu'enceinte de lui, va donner de nouvelles perspectives à la vie de Simon.

Quand est-on vraiment mort ? Que se passe-t-il à l'intérieur du corps lorsqu'on passe de vie à trépas ? Autant de questions posées dans ce documentaire, qui éclairent les mystères de la frontière entre la vie et la mort. Car avec la mise en place de nouvelles techniques permettant de prolonger la vie des patients, il est de plus en plus difficile de déterminer avec précision le moment du décès. À travers de nombreux cas qui font apparaître aussi bien des faits démontrés que des phénomènes encore inexpliqués, le documentaire revient de manière claire et compréhensible sur les problèmes éthiques soulevés par les progrès de la médecine, qui permettent notamment le maintien en vie dans un état de mort cérébrale.

Du grand spectacle : Ariane Mnouchkine s'empare de la vie prodigieuse de Molière et nous entraîne à sa suite dans la France contrastée du XVIIe siècle. Avec Philippe Caubère dans le rôle du comédien farceur devenu auteur de génie.