Coeurs de Losers

Little is known of the life of Paschal de L'Estocart, the French composer of the late Renaissance who was roughly a contemporary of Claude Le Jeune (1528 -1600). He seems to have been sympathetic to the Protestant Reformers – he spent considerable time in Germany and his music was published in Geneva – but later in life he applied unsuccessfully to the French King for a position at an abbey. His collection of psalms and motets, Sacrae Cantiones, 16 of which are recorded here, are mostly in French, along with several in Latin, and was dedicated to Calvinist Count Palatine Johann Casimir in 1582. This collection also includes his Ode in 12 parts, set to religious texts in French. L'Estocart's music is typical of late Renaissance polyphony, eclectic in its use of a cantus firmus, imitative counterpoint, and homophonic writing, with an unusually free use of dissonance. The French mixed a cappella ensemble Ludus Modalis, led by Bruno Boterf, specializes in music of this era and sings with passion and authority. Intonation is immaculate and tone quality is pure and unforced. The recorded sound is clean, but spacious and warm.

Lola vit en Bretagne au-dessus du bureau de poste où elle travaille. Elle est jolie, sage et boiteuse. Elle ne désire rien et se dit comblée par son jardin. Dans son portefeuille, on ne trouve que des photos de son potager et, dans sa chambre, face au grand lit où elle s'interdit de rêver, trône une armoire de noces pleine des coeurs de ses ancêtres.
Dans la région d'Espagne où sont nées ses aïeules, quand une femme sent la mort venir, elle brode un coussin en forme de coeur qu'elle bourre de bouts de papier sur lesquels sont écrits ses secrets…

Une romance à s'en brûler les ailes ! Shaun LeBel Il est pompier professionnel. 1m90 de belle musculature à la peau d'ébène. Arrogant et sûr de son charme. Célibataire endurci et convaincu. Un coeur de pierre brisé par un traumatisme impossible à oublier. Melissa Vaughan Elle est journaliste junior. 1m50 de peau blanche irlandaise. Maman solo d'un petit garçon de quatre ans…

" Les cliniques spécialisées, je connais. Je m'y suis frotté comme on s'arrache la peau, à vif. Les hôpitaux psychiatriques sont pleins de gens qui ont baissé les bras, qui fument une cigarette sur un banc, le regard vide, les épaules tombantes. J'ai été un parmi eux. "…