Elizabeth D. Marie

Tandis que la croisade contre les cathares bat son plein dans la France du XIIIe siècle, Brigid, une jeune femme aux dons extraordinaires, fuit les inquisiteurs. Dernière héritière de Marie-Madeleine, elle perpétue une longue lignée dont l'existence menace l'Eglise catholique. Elle trouve refuge auprès de seigneurs rebelles, dont le séduisant Raoul de Monvallant. …

Le "La trilogie des Tudor" est un récit passionnant, richement documenté, sur une reine Tudor qui a épousé quatre hommes et survécu à trois d'entre eux, dont Henri VIII. …

Elizabeth Jane Howard est une romancière britannique.
Elle est l'auteur de quinze romans.
La célébrité lui vient cependant de la saga The Cazalet Chronicle, racontant la vie aisée d'une famille anglaise de la classe moyenne. La série suit l'évolution de la société britannique à travers les relations difficiles que connaissent les membres de trois générations de Cazalets, durant la Seconde Guerre mondiale. …

Le destin des reines relève du mythe autant que de l histoire. Toujours observées, souvent épiées, ces femmes ont marqué durablement leur temps, par leur rayonnement singulier, leur génie et leur talent particuliers : la légendaire Boadicée, Aliénor d Aquitaine, héroïne féminine des temps médiévaux, Isabelle, fille de Philippe le Bel, épouse malheureuse d Édouard II, Marie Tudor, « Bloody Mary », la reine Anne au début du siècle des Lumières, déconcertante mais splendide, sans oublier l inéluctable Victoria, la « grand-mère de l Europe », ou Élisabeth II, l actuelle souveraine, qui, plus encore qu une icône, est une vivante allégorie des valeurs de constance, de tradition et d enracinement, caractéristiques du royaume d Angleterre. …

Tous domaines : Programmation, Langages, Systèmes, OS, Virtualisation, etc…

The Sicilian nobleman Sigismondo d'India was roughly contemporary with Monteverdi (both began their careers around 1600); the musical ferment of that period led, in d'India's case, to a very heady brew. His madrigals–duets, solos and five-voice works–are like inebriated Monteverdi: d'India set the Italian poetic texts (usually dealing with a lover's pain) with even less regard for academic counterpoint and even more surprising twists of harmony than did his more-famous colleague, yet the music never veers into the disorienting, seemingly willful weirdness of Gesualdo.