"Une fois chez moi, je range le cahier dans un de mes tiroirs, sous un tas de feuilles. D'abord, pour le cacher, mais aussi, et surtout, pour l'oublier. Oublier que je suis ce garçon débile qui a volé le carnet d'une écrivaine sans aucune raison, juste parce que je me suis senti coupable d'avoir regardé dedans. J'ai l'air malin, maintenant, avec ce truc chez moi. Qu'est-ce que je vais en faire ? Je ne peux quand même pas le jeter ! Et si Pauline Sauveterre avait toutes ses idées dedans ? Et si, à cause de moi, elle ne pouvait plus jamais écrire ? De toute sa vie ?" …
Derrière les vies ordinaires peuvent se cacher les plus terribles secrets…
Une femme dans une voiture délabrée, une autoroute, un jour de grand départ. Et soudain, l'accident. Qui est la victime ? Épouse, mère, femme ordinaire ? Qu'a-t-elle fait durant les heures qui ont précédé le choc ? Pourquoi son mari a-t-il été arrêté un peu plus tôt ? …
À force de jouer les tragédiens, il a tenté le destin. Déjà, s’appeler Georges quand on a la trentaine, c’est partir avec un sacré handicap. Mais aujourd’hui, c’est bien le dernier souci de ce père célibataire au bord de la crise de nerfs. Car tout fout le camp. D’abord, sa carrière : s’exhiber en slip kangourou pour une publicité n’est pas exactement ce qu’il avait en tête en embrassant le métier de comédien. …
Tout va bien ! est une méthode de français destinée aux grands adolescents et adultes débutants ou faux-débutants. Ses objectifs respectent scrupuleusement les recommandations du Cadre européen commun de référence pour les langues, comme en témoigne le portfolio qui accompagne le livre de l'élève…
Tout va bien ! est une méthode de français destinée aux grands adolescents et adultes débutants ou faux-débutants. Ses objectifs respectent scrupuleusement les recommandations du Cadre européen commun de référence pour les langues. Le livret d'Entraînement au DELF A1-A2 accompagne le niveau 1 de la méthode…
J'ai un cancer. J'ai 27 ans et j'ai un cancer. Un lymphome exactement. J'ai donc entamé un protocole de six mois de chimiothérapie et je vais sans doute perdre mes cheveux. J'ai un cathéter placé sous ma peau, extrêmement visible. Il est juste au-dessus de mon sein droit, et relie ma veine jugulaire à une chambre implantable tout aussi visible. L'ensemble, accompagné de charmantes cicatrices, est caché sous des habits minutieusement choisis. Mais tout va bien. Tout va bien. …