« L'extraordinaire courage de Cilka face au mal et sa détermination à survivre envers et contre tout vous hanteront longtemps après avoir fini ce livre déchirant. » The Express
Cilka Klein n'a que 16 ans lorsqu'elle est déportée. Très vite remarquée pour sa beauté par le commandant du camp de Birkenau et mise à l'écart des autres prisonnières. À la Libération, elle est condamnée pour faits de collaboration et envoyée dans un camp de Sibérie ; c'est alors un deuxième enfer qui commence pour elle. …
Michel-Richard de Lalande is regarded as one of the great composers of the French Baroque, and so it is not surprising that our prizewinning Boston Early Music Ensemble has now turned to him. Along with his many sacred works, Lalande also wrote for the various court occasions that required secular music. Les Fontaines de Versailles, the work occupying a central position on this CD, above all contributed to Lalande’s increasing popularity. It was performed on 5 April 1683, some weeks before Lalande was appointed to the coveted post of 'Sous-maître de Chapelle.' After the court had settled in Versailles with King Louis XIV in 1682, its musical microcosm also experienced a renewal.
1. La révolution de Février
" Durant les deux premiers mois de 1917, la Russie était encore la monarchie des Romanov. Huit mois plus tard, les bolchéviks tenaient déjà le gouvernail, eux que l'on ne connaissait guère au commencement de l'année et dont les leaders, au moment de leur accession au pouvoir, restaient inculpés de haute trahison. …
Of all Berlioz’s Shakespeare-inspired works, Roméo et Juliette is unquestionably his masterpiece. It is also cast in an innovative new form, a kind of ‘super-symphony’ that incorporates elements of symphony, opera and oratorio. Berlioz composed no singing roles for the central characters, but allowed others to comment or narrate, giving latitude to incarnate the lovers in a musical language of extraordinary delicacy and passion. The vivid Ball Scene and Romeo at the Capulet tomb are intensely dramatic but the heart of the work is the Love Scene, a long symphonic poem which Richard Wagner called ‘the melody of the 19th century’.
La grande peur de 1789 est un événement étonnant. En réaction aux incertitudes de la Révolution, d’un bout à l’autre du royaume, se répand l’idée que des aristocrates arment des brigands pour ravager les récoltes et massacrer le peuple. Aux contemporains déconcertés, elle apparut comme un mystère. Ceux qui voulurent, à toutes forces, en improviser une explication l’attribuèrent à un complot qu’ils rapportèrent, suivant leurs opinions, à l’aristocratie ou aux révolutionnaires.
Œuvre majeure de Georges Lefebvre (1874-1959)…
"Ce bas-relief était un rectangle grossier de moins d'un pouce d'épaisseur et d'environ cinq pouces sur six, manifestement récent. Les dessins, pourtant, n'avaient rien de récent, ni dans leur harmonie, ni dans ce qu'ils suggéraient. En effet, si les fantaisies du cubisme et du futurisme ont été nombreuses et désordonnées, elles n'ont pas souvent répété la régularité secrète qui se dissimule dans le graphisme préhistorique. …
La musique d’Orgue de Nicolas de Grigny constitue un sommet dans la musique pour clavier de la fin du XVIIe siècle. Le texte musical du présent enregistrement est fondé sur la première édition de 1699. Les conventions de l’époque, telles que nous les avons comprises grâce aux recherches des musicologues, ont été prises en considération, notamment en ce qui concerne la pratique de la musica ficta des altérations rétroactives. On mentionne toujours l’influence de de Grigny sur le jeune Bach. L’anecdote de la copie de Bach est bien connue.
"Mayr's Masses were in demand across Europe, and their composition is rooted in the Italian tradition of the messa concertata which demands division into separate vocal numbers. The Mass in E minor has long been recognised as an outstanding example of Mayr's late style, with its polyphonic mastery and dialogues between singers and concertante solo instruments being exceptionally convincing. The Mass in F minor evokes both joy and deep melancholy, though accompanied, as always, by Mayr's notable gift for melodic beauty."