La Fille D'un Grand Amour

Julien (Nicolas Duvauchelle), 25-years old, and Louis (Steve le Roi), 14-years old, are brothers. Their father often beat Julien, who defended Louis from also being beaten by him. He is terminally ill now. The brothers do not care much, but try to obtain ownership of his river transport ship, which they already use. A gang offers money for stealing the Edouard Manet painting 'La blonde aux seins nus' (The Blonde with Bare Breasts) from the museum. They agree, and Louis actually does it, while the young guard Rosalie (Vahina Giocante) is distracted. Rosalie comes after him, onto the ship, but Louis manages to lock her up. Later she is free to move around on the ship. Although she is sometimes treated rudely, she likes the adventure. The police suspect her of being involved. She helps by hiding the painting and herself, when the ship is searched. Julien and Rosalie have sex. Louis is jealous and pretends to have hung himself by hanging up a life-size doll dressed in his clothes. Julien plans to kill Rosalie, because she knows they stole the painting, Louis tries to protect her by advising her to escape. She returns the painting to her father, who arranges its restoration. The gang that wanted to buy it beats up Julien, out of revenge. Rosalie reunites with the brothers on the ship. In the meantime, the brothers' father dies. Louis gets the ship, apparently because only he is his real son.

Un modeste employé de banque presque méprisé des gens, devient un héros par le plus grand des hasards: sa présence a fait échouer un hold-up organisé par le Grand J. Tout le monde l'admire, surtout Renée, la fille de l'inspecteur qui n'avait jamais réussi à attraper le Grand J. Mais qui est vraiment Renée et qui est ce Grand J. ?

Dans une ville du Piémont, dans les années 1860, le jeune capitaine Giorgio Bacchetti fait la connaissance de Clara, une femme mariée et mère d'un enfant. Entre eux naît un grand amour, mais Giorgio est muté dans une garnison de la frontière…

Le sport est synonyme de santé, de force, de dépassement de soi, de victoires, de défaites parfois, mais surtout de grandes émotions. Lathlète, lui, est associé aux muscles, à la concentration, à la force mentale et à la jeunesse. Mais quen est-il des conséquences du sport de haut niveau, de ses à-côtés heureux ou de ses irritants? Athlète, oui. Mais à quel prix Sans détour, la série documentaire Ma vie après le sport présente certains aspects souvent cachés de la réalité des athlètes, avec la narration dun fin connaisseur de sport, le journaliste Paul Houde.

« L’Écume des jours », la trompette germano-pratine dans la cave du Tabou, « Le déserteur » et « Fais-moi mal », et, peut-être, « J’irai cracher sur vos tombes », polar-brûlot commis par un double américain rageur nommé Vernon Sullivan : même si l’on ne sait pas grand-chose de Boris Vian, décédé à 39 ans, le 23 juin 1959, dans un cinéma des Champs-Élysées, on en connaît généralement cela. Ce film de Philippe Kohly remplit les blancs pour dérouler les multiples fils d’une existence trop brève et très remplie, qui s’apparente à une course contre la montre. « Le temps, le temps, il me cavale au cul comme une charge de uhlans », note dans son journal celui qui, déjà à 33 ans, se sent trop vieux. Car dès l’enfance, où l’on a découvert chez lui une faiblesse cardiaque, qui en fait la proie d’un amour maternel étouffant, il se sait en sursis.

Junie, seize ans, change de lycée en cours d'année suite à la mort de sa mère. Elle intègre une nouvelle classe dont fait partie son cousin Matthias. Il devient son ambassadeur auprès de sa bande d'amis. Junie est vite courtisée par les garçons du groupe, elle consent à devenir la fiancée du plus calme d'entre eux, Otto. Mais bientôt, elle sera confrontée au grand amour, celui de Nemours, son professeur d'italien. La passion qui naît entre eux sera vouée à l'échec. Ne voulant pas céder à ses sentiments, Junie s'obstine à refuser le bonheur, car il n'est à ses yeux qu'une illusion.

En ce mois d'août parisien, Annie Simonin, jeune médecin généraliste, est préoccupée. Malgré la gravité de son cas, l'un de ses patients, Laurent Blondel, séropositif, refuse d'affronter la maladie. A l'opposé, Richard Piotr, un ami de rencontre, se prétend affligé de tous les maux, le dernier en date étant le virus du sida prétendument transmis par Annie avec une seringue non stérilisée. L'homme se révèle bientôt menaçant, dangereux même, et plonge la jeune femme dans un véritable cauchemar…