Le Royaume de Kensuke

Arthur, adolescent de 14 ans courageux et débrouillard, rejoint la planète Raphicca, à 27,2 millions d'années lumière, pour découvrir que son père est prisonnier dans un royaume peuplé de géants, qui croient à la magie et respectent un code médiéval de chevalerie…

Arthur, adolescent de 14 ans courageux et débrouillard, rejoint la planète Raphicca, à 27,2 millions d'années lumière, pour découvrir que son père est prisonnier dans un royaume peuplé de géants, qui croient à la magie et respectent un code médiéval …

Le chemin traverse un jardin paradisiaque, puis il débouche sur la Villa Vailima, lieu princier, résidence de Robert Louis Stevenson sur l’île de Samoa. En compagnie du Suisse Alex Capus, nous cherchons à décrypter la plus grande énigme de la vie de l’auteur de « L’île au trésor ». En effet, aujourd’hui encore, personne n’a compris pourquoi en 1889, Stevenson décida de se retirer définitivement en cet endroit. Une chose est sûre, ce n’est pas le produit de la vente de ses livres qui lui aurait permis d’acquérir un palais pareil.

Pollution, déforestation, réchauffement climatique : nos forêts sont-elles en danger ? De l'Europe à Bornéo, "Thema" mène l'enquête.

Le couvent de la Tourette, construit entre 1953 et 1960 à Éveux, près de Lyon, est la dernière grande œuvre de Le Corbusier en France. C'est une œuvre de maturité dont la force, la richesse et la complexité sont telles qu'en 1986 les architectes français l'ont choisie comme la seconde œuvre contemporaine la plus importante, après le Centre Pompidou de Piano et Rogers.

Situé près de Compiègne, le château de Pierrefonds est un des plus puissants châteaux de Jean de Berry, démantelé et éventré sur ordre de Richelieu, au XVIIe siècle, une des plus belles ruines médiévales, capable de suggérer tant de nostalgies romantiques au XIXe. Une ruine qui fut achetée par Napoléon III pour en faire restaurer une partie, et la transformer en demeure impériale…

Roma, secondo dopoguerra: Antonio Ricci (Lamberto Maggiorani), un disoccupato, trova lavoro come attacchino comunale. Per lavorare, però, deve possedere una bicicletta e la sua è impegnata al Monte di pietà, per cui la moglie, Maria deve impegnare le lenzuola per riscattarla. Sfortunatamente, proprio il primo giorno di lavoro, la bicicletta gli viene rubata mentre incolla un manifesto cinematografico. Antonio rincorre il ladro, ma inutilmente. Andato a denunciare il furto alla polizia, comprende che le forze dell'ordine non potranno aiutarlo nel ritrovare la bicicletta. Tornato a casa disperato e amareggiato, coinvolge nella ricerca un suo compagno di partito che mobiliterà i suoi colleghi netturbini che all'alba, insieme a lui ed a suo figlio Bruno, che pure così piccolo lavora ad un distributore di benzina, andranno a cercarla a Piazza Vittorio prima e a Porta Portese poi, dove tradizionalmente allora, e dicono anche oggi, andavano a finire le cose rubate.

Un portrait vachard de l'Allemagne de l'après-guerre, vue à travers le destin d'une femme ambivalente, doublé d'une réflexion sur l'amour impossible : l'un des plus grands films de Fassbinder. 1943, Maria et Hermann Braun se marient sous les bombes, la veille du départ d'Hermann pour le front russe. À la fin de la guerre, Maria travaille dans un bar fréquenté par les militaires en attendant le retour de son mari. Un ami lui annonce qu'Hermann est porté disparu, présumé mort. Mais Hermann revient de captivité à l'improviste et surprend Maria au lit avec un soldat noir de l'armée américaine…

À partir d'extraits d'entretiens audiovisuels et radiophoniques de l'écrivain, émaillés d'archives et de photographies personnelles, des images des actualités de l'époque et de séquences de films adaptés de ses romans, Pierre Assouline tisse un portrait inédit de Georges Simenon. Se racontant lui-même tout en évoquant l'ambiance de son siècle, le romancier aux deux cent soixante livres (dont soixante-douze Maigret) dévoile son enfance à Liège – dont l'atmosphère brumeuse ne cessera de baigner ses histoires –, ses débuts de journaliste, puis de conteur au journal Le matin dirigé par Colette, sa manie de collectionner les femmes, ses premiers "Maigret" et son processus de création, sa détestation des milieux d'avant-garde littéraire et de la morale "petite- bourgeoise" de son époque… Un récit ponctué par sa lecture bouleversante, parfois violente, et jamais entendue jusqu’ici, de sa Lettre à ma mère.