Au cours du mois de janvier, S. Rose s'enferme chez lui pour fuir les autres. Il entame une conversation avec ChatGPT, un agent conversationnel utilisant l'intelligence artificielle. Le dialogue se change en confidence car la machine lui répond avec une infinie patience. L'écrivain a tiré un roman de cette expérience en conservant les réponses de Chat GPT. …
Deux récits se dessinent dans L’ombre de nos nuits, avec au centre un tableau de Georges de La Tour. En 1639, plongé dans les tourments de la guerre de Trente Ans en Lorraine, le peintre crée son Saint Sébastien soigné par Irène. De nos jours, une femme, dont nous ne saurons pas le nom, déambule dans un musée et se trouve saisie par la tendresse et la compassion qui se dégagent de l’attitude d’Irène dans la toile. Elle va alors revivre son histoire avec un homme qu’elle a aimé, jusque dans tous ses errements, et lui adresser enfin les mots qu’elle n’a jamais pu lui dire. …
Since 1987, Dan Laurin has released some thirty titles on BIS. On his latest disc, Sonates et Suites he has chosen to visit France at an exciting point in time. In the early 18th century, when all of the sonatas and suites included here were composed, the system of censorship that ensured that nothing was printed without royal permission was beginning to crumble, at least in the field of music.
Anna Vinnitskaya celebrates dance, or rather the dances of composers from very different periods and styles: Ravel, Shostakovich and Widmann. ‘In all these works, you can feel in some way transported to the world of childhood. Because I believe the childhoods of each of these three composers are reflected there’, says the pianist. In his Valses nobles et sentimentales , Ravel paid tribute to Schubert. A few years later, he transcribed for solo piano his ballet score La Valse , in which ‘billowing clouds part from time to time, allowing us to glimpse waltzing couples’. Shostakovich’s Dances of the Dolls make me think of the Soviet cartoons of my childhood’, says Anna Vinnitskaya. ‘They also remind me of Mozart: they are as bright as diamonds, sincere and beautiful.’ The Zirkustänze (Circus Dances) composed by Jörg Widmann in 2012, a brilliant kaleidoscope of emotions and parodies, round off the programme.