La France est devenue une association de détestation mutuelle, alors qu'il y aurait matière à se réjouir par rapport aux autres pays dans le monde. Pourquoi cette nation est-elle « un paradis peuplé de gens qui se croient en enfer » comme le dit Sylvain Tesson ?
C'est peut-être tout simplement la fin du modèle français. Les bien-pensants vont crier au blasphème. Mais comment expliquer que nous ayons les dépenses sociales du Danemark et le bonheur du Mexique ? …
Apprivoiser son malheur est le premier pas vers la joie: le célèbre psychologue Paul Watzlawick, fondateur de l'École de Palo Alto, nous apprend pas à pas à nous réconcilier avec nos névroses les plus banales. Cette étude à l'humour railleur, sous forme de manuel parodique, s'appuie sur des exemples littéraires, philosophiques et historiques. Et révèle au lecteur qu'il tient le bonheur entre ses mains. …
For the staging of Odipe à Colone Antonio Sacchini could count on the support of Marie Antoinette Queen of France, who wanted to inaugurate, with this opera, the new theatre of Versailles on 4th January 1786. Due to inadequate machinery and some poor performances, however, success was not what had been expected. To console Sacchini of the near-failure, the Queen promised him to have Odipe repeated under better circumstances in the autumn, at Fontainebleau with the company of the Opéra, but the terrible events of the necklace affair made her too vulnerable to impose her choice. Already gravely ill, the composer took the news very badly: he died a few days later, in the night of October 8th, 1786. The première of Odipe à Colone took place on 1st February 1787 at Paris’s Opéra, in front of a full house. It was a triumph. Odipe à Colone kept reaping exceptional success up until 1844, reaching almost 600 performances and enthusing renowned composers such as Piccini and Berlioz.