La dernière chose dont on a envie, quand on vient de se séparer de son mari adultère, c'est d'habiter à côté d'un vieillard excentrique, qui veut sûrement découper sa femme en morceaux. Surtout lorsqu’on doit refaire sa vie avec ses deux enfants.
Eh bien, on ne choisit pas toujours sa destinée ! Ainsi va la vie !
C’est ce qui arrive à Maud, quand le ciel vient à lui tomber sur la tête. …
Longtemps, Jean-Loup Chiflet s'est levé de bonne heure, pour se plonger dans le monde jubilatoire de l'humour. De Montesquieu à Coluche, de Feydeau à Frédéric Dard, de Jules Renard à Bourvil, des Pataphysiciens aux Oulipiens et de Molière à Blondin, il a essayé d'en analyser le mécanisme complexe : l'humour est-il vraiment un «excès de sérieux», comme le pensait Tristan Bernard, ou «une tentative pour décaper les grands sentiments de leur connerie» comme le laissait plutôt entendre Raymond Queneau ? Vaste débat…
Je venais d'avoir onze ans lorsque j'ai pris conscience de ce qu'était le destin. C'est drôle, en repensant à cette soirée et à tout ce qui m'est arrivé d'important depuis, je me dis que dans une vie, on ne voit jamais venir les événements qui vont vraiment compter. Depuis ce jour, plus personne ne m'a pris dans ses bras. Enfin, jusqu'à la semaine dernière. C'était encore pour m'annoncer une nouvelle qui allait dynamiter mon existence. Il n'y a pas que les insectes qui se prennent des coups de pantoufle. Je ne sais pas qui les donne, mais si c'est un dieu, il chausse grand. …
Une femme a fait de l'aventure à pied sa vie. Elle développe au cours de ses aventures une philosophie du mouvement et un amour de la nature au travers de ses rencontres et de la traversée de magnifiques paysages. De 2010 à 2013, cette aventurière a parcouru plus de 20.000 kilomètres, avec pour seul bagage un sac à dos de 30 kilos et sa charrette…
The keyboard works of François Couperin – the most famous of the 18th-century clavecinistes – have never enjoyed quite the same popular revival as those of Scarlatti and Bach. No doubt Couperin’s comparative neglect is due partly to the fact that his intricate ornamental lines transfer awkwardly to the piano; but it is also true that the surface naivety and understated virtuosity of many of his pieces belie their musical substance.