Young L. 4ever Young (2015)

If you have to go to court, you pray not to have to appear before Michel Racine, an awfully ruthless judge. Unfortunately for him, this is what happens to Martial Beclin, a man accused of kicking to death his baby daughter. And you can easily guess what his feelings are on the first day of his trial. But neither Martial nor Michel knows it yet: this time, things may turn out differently. Why? Because judge Racine stops being himself the moment he recognizes among the jurors Ditte, a woman doctor he has been secretly in love for a couple of years…

The release of the band’s third album has been a long time coming but alas the time is near for this energetic and reputable three-piece that hail from Brisbane’s western suburbs. They are a band that is fast building momentum with two highly acclaimed albums already under their belt in the form of 2013’s ‘Burn’ and 2015’s ‘Blue Isla’ – an album that likened the band to 30 Seconds To Mars.

Neil Young + Promise of the Real have joined forces in 2015 and released the studio album, entitled "The Monsanto Years". For this guitar-centric, full steam-ahead and highly-charged rock album, Young is joined by Promise of the Real, an LA-based rock band fronted by Lukas Nelson (vocals/guitar), along with Micah Nelson (guitar, vocals), Anthony Logerfo (drums), Corey McCormick (bass) and Tato Melgar (percussion).

Michel Racine est un Président de cour d'assises redouté. Aussi dur avec lui qu'avec les autres, on l'appelle " le Président à deux chiffres ". Avec lui, on en prend toujours pour plus de dix ans. Tout bascule le jour où Racine retrouve Ditte Lorensen-Coteret. Elle fait parti du jury qui va devoir juger un homme accusé d'homicide. Six ans auparavant, Racine a aimé cette femme. Presque en secret. Peut-être la seule femme qu'il ait jamais aimée.

This is the second volume of theNeil Young Archives series of box sets produced by Neil Young. A definitive, comprehensive, chronological record of his entire body of released work.This box set covers the extremely productive period from 1972 through 1976. A prolific era for Neil when he released several classic albums including On The Beach, Tonight’s The NightandZuma. Homegrown, just released, is part of this history as well.The box set features a total of 131 tracks of which 62 are either unreleased songs or unreleased alternate versions, different mixes, rare or live tracks.

Recorded at various shows during Neil Young and Bluenote Café's 1988 tour, this superb live set documents one of Neil's most funky and heartfelt periods, featuring 7 unreleased songs - "Soul of a Woman", "Bad News Comes to Town", Ain't it the Truth", "I'm Goin'", "Crime of the Heart", "Doghouse", "Fool for Your Love", and a searing 19+ minute version of the immortal "Tonight's the Night" at The Pier in New York City. It was a wild night.

Il aura fallu vingt-et-un ans à Dominique Nicolas, alias Dominik Nicolas, pour sortir son premier album solo après son départ d'Indochine. Un laps de temps que le guitariste et fondateur (avec Nicola Sirkis) du groupe à succès n'a visiblement pas mis à profit pour explorer les méandres de la musique. Jeune homme des années 1980, Dominik Nicolas reste visiblement un fan transi de cette décennie du siècle dernier.

Joe Dassin, l’artiste aux plus de 50 millions de disques vendus à travers le monde, a connu de nombreux succès en France et ailleurs, notamment en Finlande, en Grèce, en Allemagne ou encore en ex-URSS où on l’aimait follement.
35 ans après sa disparition, Joe Dassin reste un artiste adoré en France tout comme à l’Est, d’où étaient originaires ses grands-parents, nés à Odessa. Son grand-père, Samuel Dassin, émigré juif russe ne parlant pas anglais à son arrivée en Amérique, déclara en effet simplement aux services d'immigration qu'il venait d'Odessa. Ces derniers l'enregistrèrent alors sous le nom de « Dassin ». La légende était née. Joe Dassin grandira ainsi aux côtés d’une mère violoniste, qui forgera son oreille à l’univers musical classique mêlé d’influences slaves. Un lien avec ses origines qui ne s’éteindra jamais.

Sur les neuf titres du nouveau Pulcinella, un certain nombre nous emmènent du côté de la mélancolie. Cette marque de fabrique peut, de prime abord, dérouter celles et ceux qui suivent la carrière du quartet toulousain. On l’a déjà qualifié, dans ces colonnes mêmes, de tonitruant et de malicieux. Mais voici qu’en soufflant ses dix bougies, le groupe donne le sentiment de travailler un profond spleen (cf. « L’Empereur » ou « Retour de Fleurance »), une quiétude spirituelle qui traverse le disque de part en part.