Barbara Cassin et Alain Badiou s'interrogent, en échangeant et en argumentant, sur leur démarche intellectuelle : elle, femme et sophiste, lui, homme et platonicien. Alain Badiou est platonicien (plutôt platonicien), Barbara Cassin est sophiste (plutôt sophiste). Cela a-t-il quelque chose à voir avec le fait qu'il soit un homme et qu'elle soit une femme ? Telle est la question que nous nous posons depuis longtemps. Depuis que nous nous connaissons en somme, et que nous avons commencé à travailler ensemble comme directeurs de collection. …
Louis-Napoléon Bonaparte n’est pas seulement notre premier président de la République. Il est aussi l’inventeur des voyages présidentiels, de la propagande, des grands défilés. Du contact avec la France profonde. …
Tout s'accélère, la vie défile, nous courrons tous après le temps, nous sommes en retard, nous n'avons pas le temps, nous n'arrivons pas à tout faire… et si tout cela n'était qu'une question d'organisation ! Au cours d'un entretien d'une heure, Alain Humbert vous offre les clefs de cette organisation afin de donner plus de temps à ce qui est le plus important pour vous. …
This compilation in Verve's laudable Jazz in Paris reissue series features two separate soundtracks of original music. The first features a dozen works by French saxophonist Barney Wilen, written for Edouard Molinaro's Un Témoin dans la Ville, with a quintet consisting of Kenny Dorham, Duke Jordan, Kenny Clarke, and bassist Paul Rovere. While many of the pieces were only heard as musical fragments in the film, and several of them are little more than a brief chorus or two in recorded form, the music doesn't need visuals to be effective. Best is Wilen's sole appearance on soprano sax, the mellow duo ballad with Jordan of "Mélodie pour les Radio-Taxis." None of the tunes is particularly memorable, though the music is certainly enjoyable…
The genre of the mélodie accompanied Fauré like a kind of personal journal. This music voluptuously – and sometimes vehemently – encompasses the meanderings of the soul: dreams, nostalgia, reflections or mirages . . . Stéphane Degout and Alain Planès take advantage of the iridescent tones of an 1892 Pleyel in their interpretation of some of his finest song cycles, including the testamentary L’Horizon chimérique.