Bekar Pas du Tout

Grande. Très grande. Jolie. Très jolie. Silhouette sylphide. Elégance naturelle dans le geste. Longue chevelure ondulée, en cascade sur des épaules fines. Pas de maquillage. Pas de panoplie sexy. Teint naturellement halé. Pauline est ce qu’il convient d’appeler un beau « brin de fille ». Vous savez, ce genre de physique à la fois doux, sauvage et piquant qu’émanent les vraies filles du sud…
Qu’elle n’est pas ! (…..)

Olivia Blanc naît le 1er janvier 1980 à Carcassonne (Aude). Son père, Didier Blanc, est alors musicien dans un orchestre de variétés. Il donne très tôt à sa fille l’opportunité de chanter dans une chorale locale.

Chanteur, acteur, compositeur, champion de poker, Patrick Bruel est un personnage assez atypique.

La future star internationale naît d’emblée sous le signe du déracinement : fille d’un couple d’Italiens originaires de Calabre, Yolanda Gigliotti naît le 17 janvier 1933, en Egypte, au Caire, où ses parents se sont installés.

La future star internationale naît d’emblée sous le signe du déracinement : fille d’un couple d’Italiens originaires de Calabre, Yolanda Gigliotti naît le 17 janvier 1933, en Egypte, au Caire, où ses parents se sont installés.
Destinée initialement à une carrière de secrétaire, l’attrait du glamour et des paillettes va la faire dévier de sa sage trajectoire : s’étant présentée, en cachette de ses parents, à un concours de beauté, elle remporte le premier prix.

Véritable chanteuse halogène, Eloïse Decazes hante depuis quelques années les ruines de la chanson française, notamment au sein du groupe Arlt. On l’a par ailleurs entendue miniaturiser les Folksongs de Luciano Berio en compagnie de Delphine Dora ou improviser sur cassette des hymnes au Titanic avec Le Ton Mité. Son timbre mystérieux, dont on peine à démêler le chaud du froid, son articulation faussement sereine, et cette façon de perturber les durées en chantant l’ombre des notes plutôt que les notes sont immédiatement reconnaissables.

Coffret unique, le seul à réunir l'intégralité du catalogue de Serge Reggiani de ses débuts en 1965 jusqu'aux derniers titres enregistrés aux débuts des années 2000. Ce coffret contient également les inédits "Dans le miroir" et "Comme si on s'aimait" en play back.

Let us first salute the title, given by the publisher, and undoubtedly also by Jean-Paul Ricard and Jean Buzelin, co-responsible for this edition: Jazz Ladies, and not Women in Jazz as in the past, or even “girls » as was also the case. Not the “women” of jazz, a term that is used everywhere, but the “ladies”. We do say “ladies and gentlemen” after all. This time, the ladies are entitled to three CDs, one more than usual. The tenacity of Jean-Paul Ricard, a great specialist on the subject for years, collector of records and CDs, therefore produces its effect, and it is with pleasure and a certain amazement that we see the list of instrumentalists lengthening female who has practiced jazz. And again, the usual rights reasons limited the selection to the year 1962. We suspect that if we could go to the present day, we would need a good dozen cakes. Because, even if the figures do not seem to indicate a break in the famous “glass ceiling”, the presence of “ladies” is not weakening, and is even strengthening. Let us add that female singers are not included in this selection, except obviously the cases (not rare at all) of instrumentalists whom the producers pushed into singing, for financial reasons.