Pas moins de vingt comédiens pour vous faire voyager de cafés en bistrots, de caboulots en troquets, à la rencontre de ces gens simples, authentiques poètes de l'ordinaire, artistes du délire verbal et de la sentence audacieuse. Plus de 1700 brèves de comptoir, perles tantôt subtiles, tantôt balourdes, toujours géniales, gravées à jamais dans l'inconscient collectif comme autant de maximes héritées des dieux de ta prose…
Une femme honnête et travailleuse qui élève seule ses enfants franchit un jour la ligne jaune en détournant une grande quantité de cannabis. Sans culpabilité ni effroi, elle devient la daronne.
Prix Le Point du polar européen 2017 - Grand Prix de littérature policière 2017 - Prix des lecteurs du festival de polar de Villeneuve-les-Avignon - Palmarès Lire des vingt meilleurs livres de l'année 2017…
Ce livre est une déclaration d'amour aux sports, à ceux qui les font vivre, mais peut-être surtout un hommage aux émotions que le spectateur a ressenties, et, généralement, partagées. Dans ce petit livre on vit la victoire d'un champion – souvent –, la défaite de celui ou celle qui n'aurait pas dû perdre – parfois –, la volonté des plus grands sportifs – toujours. Il y a les fous de Nadal, les fanatiques de Federer?; ceux qui préfèrent la boxe à l'athlétisme, ou le football à la natation. …
« Écrire une autobiographie est impossible, même en morceaux, je m'y suis donc jeté avec gourmandise, sachant que c'était foutu d'avance. » Pour la première fois, Jean-Michel Ribes se raconte. Mille et un morceaux comme les mille facettes d'une vie de passion, de création, d'engagement, mille rencontres, mille combats, mille amitiés et inimitiés, mille souvenirs, mille choses vues, mille bruits et fureurs. …
Léon Boëllmann’s Suite gothique, with its suave Prière à Notre-Dame and its spirited Toccata, rapidly became a beloved war-horse of organists throughout the world and gained the composer great renown. The Suite’s fame, however, caused other works by Boëllmann — who had been born in the same year as Debussy and who died in the same year as Brahms — to be forgotten. Patrick Davin chose to present Boëllmann’s symphonic works on this recording, the last he was to make before his untimely death.