Kryptonim Farewell

Die beiden Meisterdetektive Stan und Ollie haben den Auftrag, der ausgesprochen hübschen Diebin Larceny Nell das Handwerk zu legen. Ihre Mission führt die Spürnasen nach Mexiko City, wo plötzlich alles aus dem Ruder läuft. Nicht nur, dass Stan dort für den großen Matador Don Sebastian gehalten wird, man will sogar, dass er sich für ihn ausgibt, weil der echte Stier noch nicht in der Stadt ist. Die schönen Senoritas nehmen Stan und Ollie natürlich gerne in Kauf, als die beiden dann allerdings beim großen Stierkampf antreten sollen, ist Schluss mit lustig…

"The Bullfighters" (1945) was Stan Laurel and Oliver Hardy's best effort for 20th Century-Fox. It also marked the comedy team's premature farewell to Hollywood - not surprising, since the studio system offered Stan and Ollie little in the way of creative freedom. (By comparison, their final film, the 1951 French production "Atoll K," was a more adventurous enterprise.) Nevertheless, there are some inventive routines in this Mexican escapade, with a memorable closing shot that is a nostalgic throwback to the team's two-reelers at Hal Roach. Admittedly, "The Bullfighters" is not a classic, but it remains a vast improvement over the blandness of "Great Guns"
and "Air Raid Wardens."

Rigueur historique, sens du récit, splendeur des photos d'archives : dix-sept ans avant The war (diffusé par ARTE en mars 2008), et grâce aux mêmes ingrédients, Ken Burns montrait déjà avec La guerre de Sécession (The civil war) qu'une histoire bien racontée captive tous les publics.
Bercée par la mélancolie du thème musical ("Ashokan Farewell", du compositeur folk Jay Ungar), cette monumentale série documentaire en neuf épisodes mêle dans un même souffle, grâce à une voix off subtilement composée, la chronique intimiste et les grandes batailles, les discours célèbres et les voix oubliées, les destins d'Abraham Lincoln, des généraux ennemis Ulysse Grant et Robert Lee, et ceux des millions d'anonymes que ces années sanglantes allaient transformer pour toujours.

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Bercée par la mélancolie du thème musical ("Ashokan Farewell", du compositeur folk Jay Ungar), cette monumentale série documentaire en neuf épisodes mêle dans un même souffle, grâce à une voix off subtilement composée, la chronique intimiste et les grandes batailles, les discours célèbres et les voix oubliées, les destins d'Abraham Lincoln, des généraux ennemis Ulysse Grant et Robert Lee, et ceux des millions d'anonymes que ces années sanglantes allaient transformer pour toujours.

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