L'equilibre Des Corps

Il y a fort longtemps, un roi effrayé à l’idée de son trépas emprisonna la mort dans une psyché. Depuis, ses sujets sont devenus éternels et vivent un calvaire permanent. Car si leur âme est immortelle, leur corps vieillit et pourrit normalement. Mais deux jumeaux naquirent avec le pouvoir de faire disparaître les âmes et d’offrir la mort par simple contact. Ils vont devenir malgré eux un enjeu majeur pour le monde, car ils sont la délivrance !

Peut-être que vous êtes, chère lectrice ou cher lecteur, sur une plage ensoleillée au moment où vous lisez ces lignes… Ou bien sur un quai de gare bondé, attendant un hypothétique TGV qui ne viendra jamais à cause de la énième grève des cheminots… Ou encore dans la maison de vacances de votre belle-mère, car, en ces temps difficiles, il faut bien économiser un petit peu. En tout cas, vous pouvez compter sur votre magazine et sur une équipe de scénaristes et de dessinateurs n'ayant peur de rien pouPeut-être que vous êtes, chère lectrice ou cher lecteur, sur une plage ensoleillée au moment où vous lisez ces lignes…

Une grande saga magique dans la lignée des romans d’heroic fantasy ou de « sword and sorcery »... Un roi cruel cherche à rassembler les pièces éparses d'un jeu de tablettes nommé « le jeu des corps célestes », visant ainsi à détenir un pouvoir absolu sur le monde. Mais sa quête croise la route d'un sorcier qui le punit de ses ambitions sans limite : ils échangent leur visage. Se sentant damné par cette nouvelle apparence qui lui fait perdre son royaume - et surtout qui le dote du visage de son pire ennemi -, Élias poursuit sa quête en chevalier errant, à la recherche du sorcier ou du pouvoir qui pourra annuler le sort qui l'a frappé, trouvant en fait le chemin de la rédemption.

Los Angeles… notre futur proche. Les riches sont encore plus riches et les pauvres… sont de l’autre côté des grilles qui protègent ma villa. L’homme a érigé une société qui a prostitué jusqu’à son âme... Je ne sais pas quand notre monde a basculé, mais il est évident que nous avons croqué la pomme, dévoré notre humanité… Et j’en ai rien à branler…