la Dolce Vita

Ah, les Vespa, les jupes legeres, la piazza Navone a la tombee du soir, Anita Ekberg dans la fontaine de Trevi… La dolce vita quoi ! Certains disent que si les François sont les rois de l'amour, les Italiens en sont probablement les cesars…
Alors que I'ete s'installe enfin et que la temperature monte a vue d'oeil, nous avons voulu rendre hommage a la BD erotique transalpine qui a accompagne les premiers émois de pas mal de nos lecteurs et lectrices.

1959. Le film de Federico Fellini, la Dolce vita, fait scandale en Italie, dans un pays pudibond tenu par l’Église ; il remporte la Palme d’or à Cannes en 1960. Son succès signe le début d’une ère pleine de promesses et de libertés qui rompt avec les années de pauvreté de l’après-guerre.
1969. Une bombe explose à Milan et fait seize morts. C’est un massacre, le premier d’une longue série, qui voit le pays durablement endeuillé par les actes de terrorisme…

Das Kino ist wahrscheinlich der einzige Ort auf der Welt, an dem ein Mann weinen, sogar schluchzen kann, ohne sich zu schämen«, sagt Jean-Marc Luisada. Der Pianist ist nicht nur ein großer Filmfreund, er ist selbst Geschichtenerzähler. Sein Spiel ist wie die Netzhaut, die alles auffängt: Schwingungen des Lichts, Wellen der Bewegung, unausgesprochene Dialoge in Gesten.Jeder Film, den Luisada durch seine musikalische Auswahl, aufleben lässt, erzählt menschliche Schicksale: Viscontis »Tod in Venedig« mit Mahler, Louis Malles »Die Liebenden« mit Brahms, Fellinis »La dolce vita« mit Rota