En juillet 1923, Franz Kafka séjourne avec sa soeur à Müritz, petite station balnéaire de la Baltique. C'est là qu'il rencontre Dora Diamant. Il vient d'avoir quarante ans et il est gravement malade ; elle en a vingt-cinq, et elle est la vie même. Elle sera son dernier amour, probablement le plus accompli, certainement le plus poignant. …
Des Brunhoff, l’histoire a surtout retenu deux noms : celui de Jean, le génial créateur de Babar dans les années 1930, et celui de son fils, Laurent, qui fera du roi des éléphants un des personnages les plus célèbres de la littérature enfantine.
Si Jean se tenait hors du tumulte du monde, il en allait tout autrement pour les autres membres d’une famille qui a marqué son temps. Son frère Michel et son beau-frère Lucien Vogel furent à la pointe dans la presse, l’édition, la mode, la photographie ou encore l’art moderne. …
Portrait de cette artiste peintre allemande, qui fut l'une des grandes représentantes du mouvement expressionniste. L'auteure éclaire son parcours sous un angle à la fois littéraire et féminin, témoignant de son combat parmi les hommes et les artistes de son temps, évoquant ses amitiés, notamment avec R.M. Rilke, mais également son besoin d'expression et d'indépendance. …
Le premier volet, “Toute latitude”, enregistré en groupe, fait la part belle au rock, à l'électrique et l’électronique est sorti le 9 mars. Et nous découvrons la suite le 5 octobre avec “La fragilité” et ses mélodies plus acoustiques et intimistes, enregistrée en solo cette fois-ci.
That globetrotting composer Camille Saint-Saëns wrote La Princesse jaune in 1872, exemplifying the current craze for all things Japanese. Kornélis, played by the tenor Mathias Vidal, dreams only of the Land of the Rising Sun. Under the influence of a hallucinogenic potion, he becomes infatuated with Ming, a fantasy princess. His cousin Léna – the soprano Judith van Wanroij – despairs of this passion and does not dare to confess her own feelings to Kornélis, who eventually comes to his senses. The running time of this opera enables us to offer a coupling in the shape of a previously unrecorded version of Saint-Saëns’s six Mélodies persanes, thus extending the guiding thread of a yearning for exotic horizons in another direction. Leo Hussain conducts the Orchestre National du Capitole de Toulouse in both works.