Élisabeth Jacquet de La Guerre is one of the most remarkable female musical figures in history. Rarely has a woman composer garnered such esteem in her own time, and her success, rather than provoking resentment in the hearts of her contemporaries, inspired the utmost admiration. One has to give credit to the Grand Siècle, a unique period in this regard, for granting Élisabeth the respect she truly deserved. This recording features works seldom heard but nonetheless of exceptional quality, exemplifying two genres in which Jacquet de La Guerre excelled: the French cantata and the suite for harpsichord. In these, we can discover the intrinsic and timeless value of her artistry, regardless of the anecdotal aspects of the historical and social conditions in which they were created.
At the end of the 60s and early 70s Brazil was a dream. It was fashionable everywhere in Europe and therefore in France too. One thinks of "Samba Saravah" from the Un homme et une femme OST, Françoise Hardy and her record produced by Tuca, Isabelle Aubret and her "Casa Forte" or France Gall with "Zozoi". Three Brazilian musicians exiled in France, Edson Lobo (bass), Fernando Martins (piano) and Nelson Serra (drums) form the Trio Camara. They met a group of friends who loved Brazilian music, all professional musicians, but who wanted to remain anonymous, hence the name of the band: Les Masques (The Masks). Claude Germain (Les double six), José Bartel, Marie Vassiliu, Pierre Vassiliu… Indeed the singers forming Les Masques are from being unknown. In 1969 they entered Studio Davout with le Trio Camara to record "Brasilian Sound"…
Marin Marais (1656-1728)est ajourd'hui célèbre grâce au fabuleux corpus de pièces pour violes de gambe qu'il nous a laissé et qui ont été remises à l'honneur avec le célèbre film "Tous les matins du monde" et les disques de Jordi Savall Mais Marais a aussi écrit 4 opéras dont Alcione, le meilleur d'entre eux.
Avant son enregistrement, celui-ci avait la réputation d'être digne des chefs-d'oeuvre de Lully et annonciateur des splendeurs ramistes, mais pour certains figé dans les règles passéistes du grand style français et refusant malencontreusement les harmonies italianisantes chères à Campra et Charpentier.
Tony Carreira sortira son nouvel album, Le coeur des femmes, le 10 février prochain.
Tony Carreira proposera un nouvel album, Le coeur des femmes, le 10 février 2017. Un disque contenant dix duos. Parmi les artistes présents sur ce projet, nous pourrons retrouver Lara Fabian, Liane Foly, Michel Fugain ou encore Daniel Guichard.
Bon élève (mention assez bien à son bac C à 17 ans)[1], il se passionne d'abord pour la photographie puis découvre la musique de Django Reinhardt qui lui donne envie d'apprendre à jouer de la guitare à 18 ans. Après avoir fait ses gammes en côtoyant les meilleurs musiciens de Jazz manouche en plein cœur du marché aux puces de Saint-Ouen, il se lance assez rapidement dans la carrière de musicien. Il collabore avec son père, Jacques Dutronc, en 1995, sur l'album Brèves Rencontres. Parallèlement, il fait deux expériences cinématographiques comme comédien dans le deuxième film de Valérie Lemercier : Le Derrière en 1999 et dans celui d’Alain Soral : Confession d'un dragueur en 2001. Entre-temps, il écrit pour Henri Salvador (Mademoiselle). Il entre dans le groupe Gipsy Project de Biréli Lagrène durant une année. En 2002, il crée l’A.J.T. Guitar Trio avec Antoine Tatich et Jérôme Ciosi, venus tout droit de Corse. En 2003, il participe avec -M- (Matthieu Chedid) à la musique du film, Toutes les filles sont folles, de Pascale Pouzadoux et à celle du dessin animé Les Triplettes de Belleville, de Sylvain Chomet. Il réitère en 2005 pour signer la musique du film Les Enfants de Christian Vincent. Il compose aussi pour le chanteur Jacno et participe en tant qu’arrangeur et réalisateur aux albums de sa mère, Françoise Hardy.