Les Hurlements D’leo il en Faudra Des Soleils

The least one can say, is that he leaves no one indifferent. If "La France profonde" identifies totally with the views in his songs, the intelligentsia has found him an ideal scapegoat. Courageous for some, demagogic for others, nothing can detract from his talent as a singer. His sales and sell-out shows speak for themselves. Judge for yourself.

Il est impossible d aborder les années 60 sans penser à SYLVIE VARTAN, une des trois principales stars féminines de la chanson des années « yéyé ». Ce premier coffret contient ses 5 premiers 30cm en Paper Sleeve - CD Vinyl Replica Deluxe (dont l'album américain), totalement conformes aux 30cm vinyles originaux, avec 57 titres bonus, la totalité du répertoire présenté ici représentant l'intégralité des titres studio parus entre 1961 et 1965, dont des raretés. 119 titres remastérisés en haute définition dans une merveilleuse présentation et avec un son exceptionnel.

Christophe Rousset and Talens Lyriques return to Lully and his seventh opera, Isis. Inspired both by Roman mythology and Ancient Egypt, Isis is a story of love and jealousy. This plot caused a scandal at the Royal Court when Madame de Montespan, who was the King's favorite, saw in it a reference to her own situation, the Sun King being at that time occupied with a new mistress. The work's dramatic intensity provides Lully with many occasions to show his remarkable talent for orchestration. Featuring the Chamber Choir of Namur and a brilliant cast of soloists, this recording revives a neglected gem of the French Baroque repertoire.

Marais's Alcione is the last great 'tragedy' in music from the reign of Louis XIV. It is a total spectacle at the crossroads of the 17th and 18th centuries, from which it takes the mythological source, it's praise of the sovereign's glory and the literary requirement to combine choreography and stage movements. Jordi Savall rediscovered this work and brought it back to life for the first stage production in Paris since 1771.

Difficile d’imaginer entrée en matière plus éblouissante que celle des Pins de Rome, poème symphonique composé par Respighi en 1924, deuxième volet d’une trilogie célébrant la capitale italienne, entamée huit ans plus tôt par un hommage à quatre de ses fontaines. Un pied de nez de la trompette (un si bémol aussi sonore que dissonant) clôt la lumineuse évocation des jeux d’enfants sous les résineux de la Villa Borghese. Le Lento qui s’enchaîne nous emmène à l’entrée d’une catacombe. Une mélodie de plainchant remonte des profondeurs du mystérieux sépulcre. Pas de changement de tempo pour la troisième partie, onirique scène nocturne sur le Janicule.