Les Provinces Unies à L'époque Moderne

Des nanites (minuscules robots) envahissent la terre et fournissent à certaines personnes des pouvoirs modifiants leurs corps. Le premier touché commence par les utiliser pour faire le bien avant de commencer à mettre en place un stratégie plus obscure visant a fabriqué et émettre de plus en plus de nanites. Ces derniers détruisent les humains et reforment des gardiens, les Gosiodo pour finir le travail. Sept individus cybernetisés par les nanites cherchent à détruire la Singularité pour sauver le reste de l'humanité.

La légende Arthurienne replacée à l'époque du Far West, avec tout son puissant symbolisme, la magie et l'esprit d'aventure. Les chevaliers de la table ronde sont tous des flingueurs liés par un code de l'honneur pour protéger les faibles et défendre les innocents jusqu'à ce qu'ils soient détruits de l'intérieur par leur propre corruption morale. Dans cette histoire, Caliber (Excalibur) elle-même est un six-coups tatoué, donné à Arthur par les indiens et imprégné de pouvoirs surnaturels. Le secret de cette arme est qu'ellle ne se charge jamais avec des balles, mais quand un homme avec la Justice à ses côtés la tient, il peut faire feu.Quand il le fait, il tire la foudre et ne manque jamais.

Mer d'Oman, début des années 2000… Les avions Super Etendard du porte-avions "Charles de Gaulle" mènent des missions de guerre sur l'Arakistan, un pays proche-oriental qui abrite les combattants du salafiste Tarik Ben Kadar. Celui-ci, chef occulte du réseau terroriste Al-Mountaqimoun, en veut à l'Occident, mais surtout à la France qui réussit à le contrer principalement grâce à l'action des pilotes Jacques-Yves Fleuret, Xavier Mittelberger, dit "Mittel", ainsi que Jean Hernot, dit "Rabbit" mais rebaptisé "Phébus" par ses copains (voir le précédent album, Piège à Koh-e-Shar).
En couverture de l'album A.M.N. figure un missile nucléaire ASMP largué par un Super Etendard, car dans le fil de l'histoire, des circonstances exceptionnelles vont contraindre les autorités françaises à déclencher la riposte ultime…

Marcelino Truong a six ans quand ses parents quittent le Vietnam où, depuis 1961, la présence américaine n'a cessé de s'intensifier. Après cette période chaotique, brillamment racontée dans Une si jolie petite guerre, sa famille s'installe à Londres. Son père, qui fut diplomate, journaliste et interprète du président Ngô Dinh Diêm, assassiné lors du coup d'État de 1963, s'efforce de rebâtir une vie pour sa femme, en proie à des accès maniacodépressifs de plus en plus violents, et ses quatre enfants. Pour Marco, son frère Dominique et ses deux soeurs, c'est la découverte d'un monde en pleine ébullition : le Swinging London des Sixties…

Jean-Paul a quitté sa morne ville de l'Est pour la capitale, où un vendeur de voitures l'entraîne dans une escroquerie à l'assurance. Lui, ça lui va bien. L'argent est facile et les filles d'à côté très gentilles. Jusqu'au jour où il tombe sur des moins honnêtes que lui. Des moins honnêtes et des plus méchants, des types de l'OAS, qui le font chanter et se servent de lui comme chauffeur lors de leurs expéditions punitives.

Série dérivée de «I.R.$.». Avec sept tomes en deux ans, le rythme de parution est accéléré. Le scénario est assez bon mais le volet graphique est plus inconsistant, en raison d'une succession de talents inégaux.