American expatriate Joe Dassin was one of France's most popular singers during the late '60s and '70s, initially building his name with stylized adaptations of folk and country material from his birthplace…
Gaspard Le Roux fait paraître à Paris, « Chez Foucaut Marchand a L’entrée de larüe Saint honnoré », un livre de Pieces de clavessin, qui représente à peu près toute son œuvre. Cette publication consiste en sept suites de danses. Quatre d’entre elles s’ouvrent par un prélude non mesuré. On peut trouver ensuite une (ou plusieurs parfois) allemande(s), courante(s), sarabande(s), un ou plusieurs menuet(s), une gavotte, une gigue ou un passepied… La « suite » en fa comporte une remarquable chaconne. Quelques pièces portent un titre : « La favoritte », « La bel ébat », et même … « La pièce sans titre » – ce qui est après tout une façon comme une autre de lui en donner un!
A la fin du règne de Louis XIV, le mystérieux Gaspard Le Roux compose pour le clavecin des suites d'une incroyable richesse qui peuvent être jouées à deux clavecins. C'est ce répertoire unique qui est aujourd'hui prétexte à une conversation musicale entre William Christie et Arthur Haas.
Unlike Rameau's other operatic output, 'Le Temple de la Gloire' has been incomprehensibly neglected on disc and on the stage until very recently. There have been a few recordings of the dances from the opera, arranged into suites, but this is the first recording of the complete work. The libretto by Voltaire involves mainly allegorical, symbolic and mythical characters, but its intention is serious – namely to demonstrate his philosophy advocating tolerance, freedom, the welfare and contentment of the people. Of course these are concepts which few of us would argue with today, but it was a different matter under the absolutism of the 18th century.
Le plus odieux dans la formule journalistique est moins son implacable débilité, que le constat que de temps à autre, bien plus rarement qu'on ne l'utilise, elle convient. Elle idoine même. Elle sied. Donc oui, Jobic Le Masson est bien « le secret le mieux caché » du jazz parisien, depuis trop longtemps pour trouver cela normal. Mais je m'arrêterai là, dans le cadre de ma thérapie contre la quérulence chronique de ces chroniques.