Madame st Clair Reine de Harlem

La fabuleuse histoire de la reine des pin-up en bande dessinée
Icône subliminale du monde du fétichisme depuis soixante années, Bettie Mae Page, dite Betty Page, est l'objet d'une merveilleuse bande dessinée d'humour qui fut éditée une première fois en 1995 et que La Musardine reprend dans une version remasterisée, corrigée et contextualisée. Le récit pastiche les célèbres histoires de l'Oncle Paul, publiées autrefois dans l'hebdomadaire Spirou, et narre par le menu l'édifiante ascension de la pin-up Page aux États-Unis, de son enfance, car elle développa très tôt un goût prononcé pour les talons aiguilles et les porte-jarretelles, jusqu'aux années Cinquante, où les nombreux clichés prises d'elle la portèrent aux nues dans la fantasmagorie érotique moderne.

Tout mettre en péril pour partir en quête de ses origines ? Au croisement d’Out of Africa et des romans de Joseph Conrad, ce triptyque retrouve le souffle romantique de la grande aventure tout en proposant un regard réaliste sur une époque et sur un phénomène que chacun ressent à un moment de sa vie : l’appel des origines.

Kriss est toujours l'otage des Walkyries et de leur reine, Freyja. Celle-ci décidera si la prisonnière mérite le sort des guerriers valeureux morts au combat, c'est-à-dire le droit à la vie éternelle, ou si elle subira pour toujours l'errance dans les brumes glaciales du Niflheim … Kriss se doit de raconter le récit de sa vie jusqu'à sa rencontre avec Thorgal. Freyja connaît déjà la suite, qui, on le sait, plaide peu en faveur de l'héroïne. C'est la seule chance pour cette dernière de bénéficier d'une forme de clémence… Kriss parviendra-t-elle à attendrir la reine? Son enfance fut sombre et cruelle mais sa vengeance envers son village sera plus terrible encore… Kriss est toujours l'otage des Walkyries et de Freya, leur "reine". Avant de…

Harlem Blues retrata -con una visión distanciada, desde un 1978 muy consciente de mirar al pasado- los temas definitorios de la época en que transcurre (1946): la posguerra, el racismo, los bajos fondos, los entretenimientos de moda (el cine, el boxeo), etc. mezclados con una historia de amor sin esperanza y, por supuesto, la música. Crepax, un aficionado al jazz (entre sus primeros trabajos se cuentan ilustraciones para discos de jazz en los ’50 y ’60), dispone todos los elementos alrededor de la banda sonora de míticos standars tocados por Charlie Parker, apodado “Bird”: Night in Tunisia, Laura, Loverman, etc.