New horizons in historic jazz reissuing were revealed in 2005 when Jazz Oracle came out with a double-CD compendium of recordings made for about a dozen different labels between October 1924 and February 1933 in Vienna, Paris, and Berlin, all involving bandleader Lud Gluskin (1898-1989). Andreas Schmauder, apparently one of the world's leading Gluskin authorities, was asked to paw through literally hundreds of 78 rpm platters to designate the 48 titles included in this package, which is loaded with precious photographs and fascinating information. Gluskin first appears as a drummer with Paul Gason and His Versatile Orchestra. "Ain't She Sweet?" is performed by the Playboys, a Detroit-based band that would soon morph into an expanded and more versatile orchestra under Gluskin's direction.
Paris, lundi 6 janvier 1969, jour de relâche pour les artistes. Un petit appartement de la rive gauche, au premier étage d'un immeuble de la rue Saint-Placide… La pendule du salon marque 16h28 lorsque retentit un premier coup de sonnette : c'est Georges Brassens. 16h30, seconde sonnerie : Jacques Brel. 16h32 : Léo Ferré. L'affaire a été réglée comme du papier à musique ! Ponctuels au rendez-vous, les trois hommes - accueillis par François-René Cristiani et Jean-Pierre Leloir - sont visiblement ravis de se trouver réunis. Ferré en particulier, que l'idée d'une telle rencontre avait aussitôt séduit.
"Alors, qu'est-ce qu'on va bien pouvoir dire… comme conneries ?", plaisante Brel, en s'installant. Cristiani s'assied à sa droite, Ferré et Brassens à sa gauche. Leloir, qui est arrivé sur place dès 15 heures pour installer son matériel, tourne autour de la table… ronde, pour effectuer ses derniers repères. En attendant, Philippe Monsel - son assistant - immortalise la scène en photographiant les trois monstres sacrés et les deux journalistes…
Sur la table, des boissons et du tabac: de la bière pour tout le monde, des Gitanes pour Brel, des Celtiques pour Ferré, du tabac bleu pour Brassens; Cristiani (qui lui aussi fume la pipe) et sa femme Claudette ont bien fait les choses. Des micros, le magnétophone Uher du journaliste posé sur un guéridon et un autre magnéto avec un technicien, dans une pièce adjacente, pour recueillir des extraits qui seront diffusés - sur RTL - quelques jours plus tard.
Olivia Ruiz est de retour ! Ce nouveau disque, son quatrième, est son disque. Celui qu'elle a pensé, celui qu'elle a rêvé, celui sur lequel elle a travaillé, seule dans l'écriture et la composition, tout au long de ces derniers mois alternant les hauts et les bas, le jour et la nuit, le noir, le blanc et les couleurs, l'alternatif comme le continu. Entre le calme et les tempêtes. « Le calme et la tempête », une évidence donc. Entre profondeur des mots et profondeur des sons, jamais elle n'avait donné cette impression de puiser si loin en elle pour trouver la source de ses chansons.
Bonjour à tous ! Aujourd'hui, on se retrouve pour une critique du nouveau coffret de la collection "Écoutez le cinéma !" de Stéphane Lerouge, consacré à l’œuvre musico-cinématographique du (plus) grand artiste français : Serge Gainsbourg.
Do you know Duni? Martin Wåhlberg and Orkester Nord take you on a journey of discovery of the father of opéra-comique through two of his emblematic works: Les deux chasseurs et la laitière, and Le peintre amoureux de son modèle, recorded here for the first time.