The very idea of undertaking Darius Milhaud: Complete Piano Concertos as a single unit is a daunting one, as Milhaud's work for the combination of piano and orchestra encompasses an extremely broad range of styles, from Milhaud's frothiest neo-Classical concoctions to his densest, most experimental vein. Conductor/composer Alun Francis, nonetheless, has scored with the comprehensive treatment as applied to Milhaud's variegated oeuvre ……Uncle Dave Lewis @ AllMusic
Albert Roussel (1869-1937) a vingt-cinq ans, en 1894, lorsqu’il renonce à une carrière toute tracée d’officier de marine (il a navigué jusqu’en Cochinchine et aux Indes) pour entamer de sérieuses études musicales : il s’installe à Paris, prend des leçons auprès d’Eugène Gigout, puis devient l’élève de Vincent d’Indy à la Schola Cantorum. La maîtrise du contrepoint qu’il y acquiert (puis enseigne) n’assèche en rien une inspiration aussi personnelle que colorée. Joyau de son oeuvre pour orchestre, la Suite en fa (1926) est emblématique d’une écriture vigoureuse : Paul Paray élance les lignes anguleuses du Prélude comme personne (et quels cuivres !), rend à la Gigue ses sonorités de kermesse, équilibre souplesse et ferveur dans la Sarabande.
Avid Jazz continues with its Four Classic album series with a re-mastered 2CD release by Sidney Bechet, complete with original artwork and liner notes. “Favourites”; “Sidney Bechet with Claude Luter Et Son Orchestre - Vol 1”; “Sidney Bechet with Claude Lute Et Son Orchestre - Vol 2“ and “Souvenirs”.
As jazz legends go, they don’t come much bigger than the master clarinettist and soprano saxophonist, Sidney Bechet. Bechet’s story is, of course, well known to all jazz fans, born in New Orleans, recording with Clarence Williams in 1923, even before the great Louis Armstrong, playing with all the greats of the 1930’s and 40’s including Freddie Keppard, Bunk Johnson and King Oliver…
Béatrice et Bénédict, Berlioz's last completed work, is based on Shakespeare's Much Ado About Nothing, but the libretto, by the composer, dispenses with most of the intrigue of the original and reduces the plot to a single premise: Béatrice et Bénédict mask their affection for each other by squabbling, and then finally come to their senses and get married. Although designated an opera, it is closer in effect to an opéra comique because of its very extensive use of spoken dialogue.
La version de Véronique Gens de La Voix humaine est très attendue ! Cette « tragédie lyrique en un acte » est faite pour elle, son sens du verbe et son intensité dramatique sont au rendez-vous de ce monologue composé par Poulenc en 1958, sur un texte de Jean Cocteau. On est bien loin ici du Poulenc « léger » des années 1920. Cocteau lui fait d’ailleurs le plus beau des compliments : « Cher Francis, tu as fixé, une fois pour toutes, la façon de dire mon texte. » Véronique Gens confie avoir toujours voulu interpréter et enregistrer cette pièce ; c’est maintenant chose faite avec ses complices de l’Orchestre National de Lille et de son directeur musical, Alexandre Bloch. Également présente sur l’album, la Sinfonietta, qui est en fait une véritable symphonie, mais, comme l’écrit Nicolas Southon, « il est indéniable que l’œuvre – commandée par la BBC à Poulenc en 1947 - possède une fraîcheur et une liberté de ton qui justifient son titre ».