Michel de Villers made the beautiful evenings of La Rose Rouge before attending the Trois Mailletz with his accomplices Guy Lafitte and André Persiani. Attached to the swing, the saxophonist worked to demonstrate that good music and entertainment were perfectly reconcilable. A point of view shared by Boris Vian, artistic director of Philips discs. His clientele demanding dance records, Boris supervised the recordings. Entrusted to Villers, arranged by Persiani, these big band faces from 1958 and 1959 - we ignore the staff - instrumental adaptations of fashionable themes, still retain all their charm. In 1961, Jean-Christophe Averty produced a Claude Bolling Special Show for television. The show featured the pianist's nonette, a medium formation that sounded like great. In the absence of images, the music testifies to it.
En quoi consiste exactement le bouddhisme ? Pourquoi fait-il aujourd'hui tant d'adeptes en Occident ? Comment expliquer le succès d'une forme de sagesse à la fois si ancienne et si nouvelle ? …
La version de Véronique Gens de La Voix humaine est très attendue ! Cette « tragédie lyrique en un acte » est faite pour elle, son sens du verbe et son intensité dramatique sont au rendez-vous de ce monologue composé par Poulenc en 1958, sur un texte de Jean Cocteau. On est bien loin ici du Poulenc « léger » des années 1920. Cocteau lui fait d’ailleurs le plus beau des compliments : « Cher Francis, tu as fixé, une fois pour toutes, la façon de dire mon texte. » Véronique Gens confie avoir toujours voulu interpréter et enregistrer cette pièce ; c’est maintenant chose faite avec ses complices de l’Orchestre National de Lille et de son directeur musical, Alexandre Bloch. Également présente sur l’album, la Sinfonietta, qui est en fait une véritable symphonie, mais, comme l’écrit Nicolas Southon, « il est indéniable que l’œuvre – commandée par la BBC à Poulenc en 1947 - possède une fraîcheur et une liberté de ton qui justifient son titre ».
Cet album Cascavelle reprend ce qui semble être l'intégralité d'un concert Mozart de Clara Haskil, Otto Klemperer et l'Orchestre du Gürzenich de Cologne en 1956, complété par le Concerto de Schumann de quelques semaines postérieur avec Ernest Ansermet et son orchestre de la Suisse Romande. Comme date d'enregistrement la notice indique le 09 septembre 1956 pour Mozart et le 10 octobre 1956 pour Schumann alors que trône en fronton de la couverture de l'album un superbe « Live recording – Montreux April 9th 1956 ». Pourtant c'est bien cette dernière date d'avril qui semble erronée, le concert Mozart ayant bel et bien été donné dans le cadre du Septembre musical de Montreux.