La Suisse, cette belle inconnue…
Je vis avec un de ces hommes dont on parle souvent. Ces poèmes passionnés qui tanguent vers la violence, le piège de zirconium (pas de diamant, faut pas déconner non plus) qui se referme sur vous, la dépendance affective, la dépendance financière, les enfants…
« Je m’appelle Anita Moreau et aujourd’hui c’est mon anniversaire. J’ai décidé que ce serait le dernier. »
Quand la maladie avec un grand C vient anéantir l’horizon d’Anita, elle décide de partir en beauté, résolue à avoir le dernier mot et à garder la main sur son destin. Désormais plus rien plus rien ne la retient à l’existence.
Mais qui peut se prétendre à l’abri des surprises de la vie ?
Un coup de téléphone inattendu l’oblige à différer son geste.
“The father of the symphony”; “bard of the Revolution”: these two phrases sufficed to describe Gossec from the beginning of the 19th century onwards and created a reputation for him that musicographers and music historians of the following century made almost unalterable. Gossec had, however, always been interested in the operatic stage, as can be seen from his works in the more modern genre of opéra comique as well as in the more traditional tragédie en musique. Appointed to provide music for the largest musical institutions of his time, Gossec created more than twenty theatrical works; these enjoyed varying degrees of success but nonetheless reveal a dramatic composer of the first water.