Ombre D'un Mensonge

Jean Giraud alias Moebius, le célèbre dessinateur français et co-scénariste des Maîtres du Temps de René Laloux, créa le personnage Arzach en 1976 pour le magazine Métal Hurlant. A cette époque, ces aventures furent "révolutionnaires" dans le monde de la bande dessinée, avare en terme d'originalité et de risque. En effet, outre ses qualités graphiques, Arzach ne comprend pas le moindre texte, pas la moindre bulle dans ses pages. C'est au lecteur lui-même d'imaginer, de prendre conscience des sensations vécues par le personnage dans son monde fantastique. Grâce à la volonté et à l'enthousiasme d'Alexandre Brillant, ex-journaliste du magazine Première, l'adaptation animée va prendre forme entre les mains de Moebius. L'absence de dialogues n'étant pas l'idéal dans pareil cas, une narration simple et efficace est donc nécessaire. Afin de ne pas dénaturer son travail original, il utilise l'animation Flash, qu'il maîtrise parfaitement grâce à Photoshop… et le résultat est bel et bien là. Coproductrice de la série, la chaîne publique France 2 a par ailleurs diffusé cinq épisodes dans la soirée du 30 décembre 2003. Arzak Rhapsody a notamment eu l'honneur d'une sortie cinématographique aux États-Unis, en Australie et au Canada.

La primera serie de animación escrita, dibujada y realizada por el maestro Jean Giraud "Moebius".
Arzak es un viajero solitario. Montado en su fiel pterodáctilo antigravedad ("donde nada grave puede ocurrirle"), vuela a lazar sobre mundos paralelos, explorando fantásticos universos poblados por extrañas criaturas para aterrizar en los más inesperados e insólitos lugares. Sus aventuras son desviaciones fortuitas en su viaje y le conducen a extraños encuentros y experiencias, a veces peligrosas, pero siempre excitantes, en algún lugar en la frontera entre el sueño y una realidad más allá de lo real.

Rigueur historique, sens du récit, splendeur des photos d'archives : dix-sept ans avant The war (diffusé par ARTE en mars 2008), et grâce aux mêmes ingrédients, Ken Burns montrait déjà avec La guerre de Sécession (The civil war) qu'une histoire bien racontée captive tous les publics.
Bercée par la mélancolie du thème musical ("Ashokan Farewell", du compositeur folk Jay Ungar), cette monumentale série documentaire en neuf épisodes mêle dans un même souffle, grâce à une voix off subtilement composée, la chronique intimiste et les grandes batailles, les discours célèbres et les voix oubliées, les destins d'Abraham Lincoln, des généraux ennemis Ulysse Grant et Robert Lee, et ceux des millions d'anonymes que ces années sanglantes allaient transformer pour toujours.

Il y a 50 ans, en 1960, les 14 colonies françaises d’Afrique noire devenaient indépendantes. Mais, indépendance ne signifie pas liberté : le général de Gaulle confie à Jacques Foccart la mise en place d’un système qui vise à garder, par tous les moyens, légaux et illégaux, le contrôle de nos anciennes colonies dont les matières premières sont vitales pour la France. Ce système va s’appeler la Françafrique. Pendant plus d’un an, Patrick Benquet a enquêté avec l’aide précieuse d’Antoine Glaser, spécialiste unanimement reconnu dans ce domaine. Il montre dans ce film qu’à travers les présidences successives qu’avait connues la France, de droite et de gauche, les bouleversement mondiaux entraînés par la chute du mur du Berlin et la mondialisation, il existe une étonnante cohérence dans la politique française à l’égard de ses anciennes colonies.

Un portrait virevoltant qui n'oublie aucune des multiples facettes de l'acteur Errol Flynn, de son enfance australienne à sa part d'ombre…

Il y a 50 ans, en 1960, les 14 colonies françaises d’Afrique noire devenaient indépendantes. Mais, indépendance ne signifie pas liberté : le général de Gaulle confie à Jacques Foccart la mise en place d’un système qui vise à garder, par tous les moyens, légaux et illégaux, le contrôle de nos anciennes colonies dont les matières premières sont vitales pour la France. Ce système va s’appeler la Françafrique. Pendant plus d’un an, Patrick Benquet a enquêté avec l’aide précieuse d’Antoine Glaser, spécialiste unanimement reconnu dans ce domaine. Il montre dans ce film qu’à travers les présidences successives qu’avait connues la France, de droite et de gauche, les bouleversement mondiaux entraînés par la chute du mur du Berlin et la mondialisation, il existe une étonnante cohérence dans la politique française à l’égard de ses anciennes colonies.

Après la mort de ses parents, Sophia sombre dans une solitude pesante. Elle fait la rencontre dun homme séduisant, Adam. Celui-ci disparaît un matin en laissant des traces de sang sur le lit. Sophia, avec laide de ses amis, part à la recherche d Adam dans limmeuble où il vit. Elle sera confrontée à des forces maléfiques surnaturelles.