Paysages Trompeurs

Bleu Lézard est le surnom donné à Lison, une jeune femme chirurgien absorbée par son travail. Le récit est mené sur plusieurs niveaux. Au départ, un couple perdu en mer recueille un naufragé au visage brûlé. L'homme porte une paire de menottes au poignet droit. Émergeant lentement de sa léthargie, cet étrange rescapé se met à parler de Lison, de leur jeunesse, et du lien très fort qui les unit. Ment-il ou dit-il la vérité ? Ce lézard tatoué à la cheville est-il un indice ? Bleu Lézard captive le lecteur et laisse percer peu à peu les sentiments des personnages, utilisant les flashbacks avec réussite. Un polar à la Simenon.

Attention à la marche ! Les longs sentiers caillouteux sous un soleil de plomb, les chemins forestiers balisés par les ronces, les terrains boueux, secs, en pente ou en montée, rien ne fait peur aux randonneurs ! Suivez nos héros le long de cette rando en 44 gags et partagez avec eux les points de vue à tomber, les points de côté à couper le souffle, le plaisir d’avancer tous ensemble, la joie partagée des entorses, les paysages de carte postale, les concours de la plus grosse ampoule… La meilleure façon d’marcher, c’est encore la leur. En mettant un pied d’vant l’autr’, sans jamais s’arrêter !

Ella Mahé, une restauratrice de manuscrits anciens, suite à la rencontre de Thomas Reilly, archéologue et petit-fils d’Henry Reilly, se retrouve en possession d’un carnet qui relate l’obsession du grand-père de Thomas pour une princesse égyptienne de la 18ème dynastie. Ella et cette dernière ont toutes les deux un point commun : des yeux vairons, l’un noir, l’autre bleu. Une coïncidence plutôt troublante…

Héos, planète aux climats et aux paysages foisonnants, terre de civilisations magiques et métissées, a été colonisée dans le sang par les humains. Les Héossiens pansent leurs plaies en attendant des jours meilleurs, pendant que certains organisent la révolte en secret. Kelmar et Lorik, deux frères darkens façonnés par leur culture guerrière, vont tenter chacun à sa manière de changer le cours des choses. Mais pour le compte de qui ?...