Hippolyte et Aricie was Rameau's first surviving lyric tragedy and is perhaps his most durable, though you wouldn't know it from the decades we had to wait for a modern recording. Now there are two: this one, conducted by Marc Minkowski, and William Christie's version on Erato. Choosing between the two is tough. Minkowski uses a smaller and probably more authentic orchestra, and with the resulting leaner sound, the performance has more of a quicksilver quality accentuated by Minkowski's penchant for swift tempos. His cast is excellent. The central lovers in the title are beautifully sung by two truly French voices, soprano Véronique Gens and especially the light, slightly nasal tenor of Jean-Paul Fourchécourt. In the pivotal role of the jealous Phèdre, Bernarda Fink is perfectly good but not in the exalted league of Christie's Lorraine Hunt. So there's no clear front-runner, but anyone interested in French Baroque opera must have at least one.
Voyageuse de toujours, écrivain de l’ailleurs depuis des décennies, Lieve Joris a traversé l’Afrique de part en part. Aujourd’hui elle poursuit son chemin. Sur les traces de ses amis du Congo, elle suit la nouvelle route du commerce jusqu’en Chine. Et les Africains sont bien là, au cœur des échanges internationaux et de l’avancée fulgurante de la mondialisation. …
Des contes italiens traditionnels qui mettent en scène un chat cruel, un rat voyageur, des châteaux et des ritournelles. …
Co-fondateurs de l'Observatoire de la transparence dans la politique du médicament, les auteurs analysent la place de ce produit dans le système de santé français. Devenu un objet de profit via les dividendes actionnariaux, le médicament est financé par la recherche publique puis l'assurance maladie mais les profits engendrés sont captés par le secteur privé, mettant à mal l'offre de soins. …