Quatre musiciens ont rejoint Mahut, Rodolphe et Jacques, et dans le même temps, dix nouvelles chansons surgissent, instants de vie intense, immortalisés par les dessins de Dupuy & Berberian, ou les images d'Emma Pick. Ces chansons, elles étaient déjà là, elles aussi, il suffisait de les réveiller, de les laisser éclore le moment venu. Ce sont les sœurs des meilleures chansons d'Higelin, la quintessence même de son art, de son langage. On les reconnaît tout de suite : inimitables, nées du fin fond de ce qui le toucha si tôt. Elles approchent en procession depuis la Nouvelle Orléans, du fond des bals de son enfance. Les lourdes valses du passé, chaloupées, les larmes aux yeux, guirlandes et cuivres. « Soul » en avalanche, directement reliées aux muscles, aux nerfs, la joie, la rage, la démesure, l'insouciance… Un fil directement tendu à travers le temps.
The story of Amadjar - the new album from the Grammy award-winning Tuareg musicians Tinariwen - begins at the end of October 2018 at the Taragalte Festival of nomadic cultures in the Moroccan Sahara. Following their appearance at the festival, Tinariwen hit the road and head for Mauritania, via southern Morocco, Western Sahara and the Atlantic coast, to hook up with the singer Noura Mint Seymali and set up and record their new album there.
Vous pensiez en avoir fini avec les commémorations ? Raté ! L'été arrive et le printemps revient, celui de 68 célébré par des chanteurs aussi divers que Stacey Kent, Rodolphe Burger, Moustaki ou Cali. C'est d'ailleurs à ces deux-là que l'on doit la chanson la plus politique de ce disque-collage, un bel hymne à la révolution entonné en duo et extrait du dernier album de Moustaki. Le reste, c'est un peu la bande-son idéale des années 60 finissantes, quand Salut les copains diffusait sur les ondes des parfums mêlés de rock, de psychédélique et de bluettes yé-yé. Où l'on entendra donc aussi bien des reprises de Dutronc ou de Françoise Hardy que de Lee Hazlewood ou des Aphrodite's Child. Aussi disparate que plaisant.
Rodolphe Raffalli a plus d’une corde à sa guitare ; on savait que le guitariste aimait le jazz, le classique, la musique sud-américaine, Brassens et Django entre autres, et qu’il était chez lui dans toutes ces musiques. Avec ce 5ème CD pour le label Frémeaux, le Buster Keaton de la guitare célèbre ses racines. Si Rodolphe est né en Seine et Marne, son père est Corse et sa mère italienne ; c’est dire si les traditions musicales méditerranéennes, en particulier celles de la Corse où guitares et mandolines sont les instruments rois, ont bercé sa jeunesse et forgé ses racines. Grand sentimental avec une sensibilité à la Crolla, Rodolphe fait merveille sur les sérénades (cf la superbe Sirinate Ajacciu d’Antoine Bonelli), les ballades ou les valses (la Valse ajaccienne, LE tube d’Antoine Bonelli), un répertoire méconnu…
With Chansonnettes Rodolphe Raffalli pays tribute to the great French Songbook. Not only to the popular songs of Piaf, Trenet, Aznavour and Ferré, but also to titles by Brassens or Michel Legrand, all those tunes which everybody has hummed over the years, even on other continents, making them part of our national heritage. Their quality is reflected in the performance of Rodolphe Raffalli, who once again confirms his status as an exceptionally musical instrumentalist. A highly individual guitarist with nothing to prove, he makes this repertoire his own, showing humanity and a tender, personal touch that sets him apart. A dazzling demonstration of freedom.
Rodolphe Kreutzer’s final three violin concertos are among his greatest achievements as a composer. While handling a Beethovenian orchestra with a craftsman’s sure touch, it is the purity and depth of tone, energetic fire and complete technical mastery required of the soloist that set these works among the most perfect examples of the French violin concerto. Axel Strauss, Professor of Violin at the San Francisco Conservatory of Music and heard on concert stages worldwide, has been acclaimed ‘an excellent violinist who plays these with wit and verve’ (Limelight). Naxos plans to record all of Kreutzer’s violin concertos.
Rodolphe Kreutzer, a virtuoso violinist and composer, was a central figure of the French violin school. The work that brought him his most enduring fame as a composer was his forty classical Études ou Caprices for violin solo. These etudes first published in 1796, quickly established themselves in violin repertoire laying the foundations for violin technique which is why they are regarded as indispensable by virtuosos and teachers alike. The collection not only includes practice pieces that require good technical ability but also character pieces which are expressive and fun to play.