Didier Squiban a souhaité retrouver l'ambiance intimiste et proche de ses albums en piano solo. Il revisite pour notre plus grand plaisir ses thèmes préférés avec son percussionniste Jérôme Kerihuel. Didier Squiban transforme depuis bientôt une vingtaine d'années des thèmes celtiques en pièces pour piano jazz. Hormis la difficulté certaine de l’exercice réalisé par ce musicologue, force est de reconnaître que le jazz et la musique classique prennent le pas sur les rythmes celtiques, bien difficiles à percevoir pour les non érudits.
Liszt's position as a composer for the Church has always been controversial. The paradox that the most modern composer of the age, the supporter of the revolutionary ideals of 1789, 1830 and 1848, ended up writing music for an institution regarded as a bastion of everything conservative and reactionary, has led to a questioning of Liszt's motives. With the rapidly advancing secularization of culture, Liszt was seen as disillusioned, and his decision to take minor orders in 1865 was considered a startling about-turn for one so worldly. In fact, Liszt wrote sacred music with reform in mind. The dismal state of church music in the first half of the nineteenth century, when it was common to hear opera cabalettas sung to liturgical words, encouraged him to go back to plainsong and the music of Palestrina for inspiration. Composed in 1865, the year he took minor orders, the Missa Choralis embodies these twin elements. The influence of plainsong pervades the thematic material, albeit refocused through Liszt's boldly original and expressively chromatic harmonic language.
The turn of the first millennium was experienced by people of that time not with fear that the world was coming to an end, but rather with hope that the world would be renewed, as 'the promise of a new Spring'. Thus, Christ's Passion came to symbolise the resurrection of the Church; a great reformation began. Seen in that context the lyric poem La Passion de Clermont takes on its full meaning. Brice Duisit performs vocals and vièle à archet.
Juin 1965 : les Smetana ont pris le train de Prague à Stuttgart pour y fixer les quatuors de Janacek, fer de lance de leur répertoire. Janvier 2016 : on ne se gratte pas la tête bien longtemps au moment d'élire le carré d d'as de la discographie comparée que nous consacrons au N° 2 (cf. Diapason n° 642). Non seulement la formation signe là sa meilleure lecture enregistrée de la pièce, la deuxième sur cinq, mais elle domine aussi les gravures « historiques » du chef-d'œuvre aux côtés des Vlach.
Entre la publication du Deuxième Livre en 1701 et celle du Troisième Livre, dix années se sont écoulées et Marais s’est imposé comme compositeur de Tragédies lyriques. Mais, entre-temps quelques jeunes violistes, dont certains sont ses élèves, viennent de publier leurs premiers recueils de Pièces de Viole. Marais doit donc s’imposer comme étant toujours le maître du genre, exercice parfaitement réussi avec ce nouvel opus dans lequel il s’attache à proposer à son public des pièces plus faciles et d’autres plus exigeantes pour « contenter ceux qui sont plus avancés dans la viole ». Le style a également changé : aux suites traditionnelles les pièces de caractère apportent un complément de plus en plus important…