De février à mai 2020, reclus dans sa maison de Ljubljana, Slavoj Zizek observe ce qui se passe à l’échelle du monde. La pandémie a mis à nu ce que nous parvenons d’ordinaire à accepter ou à dissimuler : la barbarie à visage humain dans ses multiples formes. Zizek traque les virus idéologiques qui ont favorisé l’apparition et la dissémination de la Covid-19, mais aussi ceux que la pandémie active ou réactive, les virus du racisme, des fake news, des théories du complot. …