Un soir à Paris, une jeune femme se fait voler son sac à main. Laurent le découvre le lendemain, abandonné dans la rue, tout près de sa librairie. S'il ne contient plus de papiers d'identité, il recèle encore une foule d'objets qui livrent autant d'indices sur leur propriétaire : photos, notes, flacon de parfum…
Depuis vingt ans, Sébastien Desmichelles note dans un petit carnet toutes les offenses qui lui sont faites, des querelles de voisinage à son divorce mal digéré. Il s'est promis de régler tous ses comptes un par un quand il aurait 50 ans, en terminant par l'homme qui lui a fait le plus de mal. Pour ce dernier, le seul châtiment envisageable est la mort. …
A collection of unrivalled completeness, Tout Satie proves that the music of Erik Satie (1866-1925) remains as provocative, delightful – and surprising – as ever. These 10 CDs, featuring artists with impeccable credentials in French repertoire, draw together his works for piano, orchestra, chamber ensemble and voice. They constantly remind us that Satie was not just a maverick or an eccentric: he was a true original.
Valère Novarina est un auteur de théâtre, essayiste, metteur en scène et peintre franco-suisse, né le 4 mai 1942 à Chêne-Bougeries, dans la banlieue de Genève. …
Following his compendious sets of music by the outstanding figures of Minimalism such as Philip Glass, Terry Riley and Michael Nyman, Jeroen van Veen returns to Brilliant Classics with new recordings of the grandfather, inspiring figure of the genre, Erik Satie. Not that Satie himself would have recognised the term, coined by Nyman in the early 70s, but in saying new things in a quiet voice, swimming against the tide of Romanticism, he influenced not only Debussy, Ravel, Les Six and countless artists of any medium…
"Palestine by nights" aurait pu être le carnet de bord quotidien d’un expatrié français vivant et travaillant à Naplouse, Palestine, ville traditionnelle et enclavée du nord des territoires occupés. Le choc des cultures, la sensualité orientale, le poids de l’occupation, mais aussi la médiocrité du monde diplomatique français, la « crise de la cinquantaine » et surtout la mort soudaine d’un père en ont décidé autrement…
« Raphaëlle Giordano nous apprend à refaire surface et à aimer la vie. On dit oui ! »
Madame Figaro …