Stéphane Berre

"Cuando era un niño, había muchísimos espacios vírgenes sobre el papel del atlas. Yo ponía el dedo encima y solía decir: “Cuando sea mayor, iré allí”. He estado en algunos de ellos… Pero falta uno, el más vasto, el más virgen si se me permite, aquel por el que siempre suspiré. Con el tiempo, había dejado de ser una mancha blanca sobre la que un chavalín podía construir sus luminosos sueños de gloria. Se había convertido en un lugar de tinieblas." Estas palabras de Conrad nos permiten definir bien la atmósfera nebulosa con que Godart y Miquel le han tomado el pulso a la obra más conocida de Joseph Conrad.

Alors que son portrait a repris son aspect initial, Dorian Gray a vieilli et son visage défiguré porte les stigmates des actes malfaisants qu’il a commis dans le passé. Ruiné, il vit désormais dans la rue et n’a plus qu’un seul bien précieux : son portrait. Mais lorsqu’il est recueilli par la jeune Phillis, la fille d’un influent conseiller du maire de Londres, Dorian reprend espoir. Pendant ce temps, dans les bas quartiers, un étrange homme invisible complote pour inciter les pauvres à la rébellion afin de prendre le pouvoir...

A series of droll vignettes of everyday French life… except for the fact that each short story features one or more characters that have the very special ability of walking through walls, and through any other objects for that matter, which tends to "enliven" things quite a bit. These touching and humorous chronicles by the talented team of Jean-Luc Cornette and Stephane Oiry are full of the European sensibility seen in titles such as the Monsieur Jean series. Published here in its entirety and in the English language for the first time.

DEUS est un retour au temps des Doges. Venise est infestée par la peste, cette peste que l’on ne sait guérir, que l’on subit comme une punition divine. C’est dans cette réalité historique que Christophe Bec intègre son scénario fantastique. Un univers glauque, une atmosphère brumeuse dans laquelle bruissent les secrets et les mystères. Dans cette lutte contre la mort, l’éternelle quête de l’immortalité refait surface. Cette immortalité que l’on pense répondre à tous les maux parviendra-t-elle à guérir ceux de nos deux protagonistes ?

L’errance criminelle de deux hommes, résurrectionnistes puis assassins, à tout jamais liés par le sang. 1867, le jeune écrivain anglais, R.L. Artless mène une enquête sur les aliénés de l’asile de Brensford. Là, il fait la connaissance d’un certain Mac Grave, un schizophrène obsessionnel qui lui raconte l’histoire de sa vie. 1837, banlieue d’Healtheart. Une nuit lugubre dans un cimetière sur une colline dénudée de la lande écossaise. Deux hommes, éclairés par des lanternes, piochent le sol d’une tombe. Ils s’appellent Edward Laird et William Mac Grave, ont vingt-cinq ans chacun, et déterrent les morts pour offrir leurs corps à un médecin anatomiste, un certain professeur Knox…