Excellent addition to any prog rock music collection.
There is something about the music on Malicorne's album `Le Bestiaire' (roughly translated to `The Animals') that transports me to another space and time.
Sweet Saint-Saëns and wicked Apollinaire may be empires apart, but their hilarious animal portraits in Le Carnaval des Animaux and Le Bestaire ooze the same satirical genius. Belgian composer Piet Swerts translated the evident musicality in the Bestiaire poems into real melodies, and he rearranged Le Carnaval for clarinet, strings and piano. The acclaimed Roeland Hendrikx Ensemble fuses both zoos in an unparalleled chamber-musical Animal Farm which showcases the grand façades but also the foibles of the normal, and not so normal creatures that populate it.
Haute Loire, 2003. Marianne Soulis, nouvelle directrice de l'agence immobilière Logeathlon est chargée de la vente du domaine des « Maréchal ». Au cours d’une visite dans la bastide familiale, elle découvre des feuillets écrits par Lucile, la première épouse de Denis Maréchal, homme politique influent. Cette jeune femme a mystérieusement disparu il y a plus de trente ans, personne ne sait ce qu'elle est devenue.
L’histoire qu’elle relate dans ces pages manuscrites est invraisemblable. Réalité ou fiction ? …
In the monastic life of the Cistercian order, as in the case of the female monastery of Santa María la Real de Las Huelgas (Burgos), a royal pantheon, the seat of coronations and the epicentre of a very intense musical life in which singing played an extremely important part, the nuns were called upon to live a life of simplicity, silence, prayer and contemplation. Flavit auster, which is part of the Las Huelgas Codex, is a Marian text inspired in the Song of Songs in which the most powerful symbols of femininity appear, such as the honeycomb, milk and honey, and protectiveness described as “mother of mercy, port of hope for the shipwrecked and virgin mother purified.”
Entre le ve et xie siècle, la vision du monde animal que donne la littérature occidentale est la résultante de bien des héritages : gréco-romain, judéo-chrétien, mais aussi celtique ou germanique… Jacques Voisenet en détermine ici la nature et le poids. Il montre aussi que le bestiaire du Haut Moyen Âge n'est pas dénué d'une certaine nouveauté : les clercs ont su adapter les acquis du passé au système symbolique du christianisme et faire de la faune un véritable instrument au service de la foi.