Otto Klemperer's Beethoven is one of the towering achievements in the history of recordings. By today's standards, these performances are hopelessly old-fashioned: dark, heavy, and frequently very slow. But they are also the grandest, most unsentimental, most purposeful versions in the catalog.
Cet album Cascavelle reprend ce qui semble être l'intégralité d'un concert Mozart de Clara Haskil, Otto Klemperer et l'Orchestre du Gürzenich de Cologne en 1956, complété par le Concerto de Schumann de quelques semaines postérieur avec Ernest Ansermet et son orchestre de la Suisse Romande. Comme date d'enregistrement la notice indique le 09 septembre 1956 pour Mozart et le 10 octobre 1956 pour Schumann alors que trône en fronton de la couverture de l'album un superbe « Live recording – Montreux April 9th 1956 ». Pourtant c'est bien cette dernière date d'avril qui semble erronée, le concert Mozart ayant bel et bien été donné dans le cadre du Septembre musical de Montreux.
Cet album Cascavelle reprend ce qui semble être l'intégralité d'un concert Mozart de Clara Haskil, Otto Klemperer et l'Orchestre du Gürzenich de Cologne en 1956, complété par le Concerto de Schumann de quelques semaines postérieur avec Ernest Ansermet et son orchestre de la Suisse Romande. Comme date d'enregistrement la notice indique le 09 septembre 1956 pour Mozart et le 10 octobre 1956 pour Schumann alors que trône en fronton de la couverture de l'album un superbe « Live recording – Montreux April 9th 1956 ». Pourtant c'est bien cette dernière date d'avril qui semble erronée, le concert Mozart ayant bel et bien été donné dans le cadre du Septembre musical de Montreux.
Otto Klemperer's Brahms needs no introduction. It remains a classic reference edition, one of the very few complete cycles with absolutely no weak links. It's customary to call these performances "granitic", an adjective that certainly applies to the First Symphony but doesn't begin to describe the swift and thrilling finale of the Fourth, the grand but impulsive Third (with its first-movement repeat in place), or the warmly lyrical Second. In general Klemperer's unsentimental but always gripping approach to this music practically defines the word "idiomatic".
With no slight intended to the other great recordings of the Missa Solemnis in the world, there's this one and then there are all the rest. Truly. Even with the 1940 Toscanini and the 1974 Böhm, this 1965 recording of Otto Klemperer and the Philharmonia Orchestra and Chorus embodies everything that's great about the Missa Solemnis.