Analyse du thème et de la représentation du diable en littérature et dans les autres arts (peinture, sculpture…). Le diable a souvent fasciné, voire envoûté les artistes le représentant, sous différentes formes et noms.
Satan, Belzébuth, Lucifer…
Chris Kovak est médecin, agoraphobe, incapable de sortir de chez lui. Quand un mystérieux patient le contacte, un compte à rebours meurtrier commence. Audrey Valenti est lieutenant de la brigade Évangile, spécialiste des crimes du métro. Lorsque le corps d'une inconnue habillée en sorcière est retrouvé sur les voies ferrées, débute la plus incroyable des enquêtes.
Tous deux traquent le diable, un psychopathe monstrueux et insoupçonnable. Mais c'est le diable qui va les trouver.
« Je pourrais être morte demain. Ou pire… »
Luttant contre l’étrange épidémie de suicides qui a emporté son mari, Jane Hawk est devenue la fugitive la plus recherchée des États-Unis. Tant par le gouvernement que par les responsables d’une confrérie secrète. À présent, elle tient une proie dans son viseur : un homme influent… disposant d’une armée de tueurs. …
Si Friedrich Nietzsche a pu, en son temps, déclarer « Dieu est mort », personne, à ce jour, à notre connaissance, ne s'est aventuré à proclamer la mort de Satan. Nous ne nous y risquerons pas. Nous nous contenterons d'évoquer sa haute figure dans ses métamorphoses, ses pompes et ses oeuvres. Et, en un prolongement dramatiquement logique, le bouc émissaire tout trouvé qu'est la femme. À l'heure où le féminisme prend un nouveau visage et s'incarne dans la figure mythique de la sorcière, il est essentiel de revenir sur le processus qui a conduit à cet état de fait : le Diable. …
Du XVe au XVIIe siècle, l'Europe se passionne pour les démons et les sorciers. L'inquiétude, dont la sorcellerie est le témoignage et dont les bûchers seront souvent le règlement violent et spectaculaire, n'est ni le résultat de l'ignorance crédule, ni le signe d'une persécution aveugle et obsessionnelle. …
A grand opera that dominated the stages of Europe for most of the 19th century, Robert le diable is a masterpiece. Director Laurent Pelly breathes new life into Giacomo Meyerbeer’s great spectacle and audaciously entertaining moral fable, in this colourful new staging for The Royal Opera. The wonderful score includes brilliant arias, dramatic ensembles, rousing choruses and a ballet of ghostly nuns, and with the wavering hero of the title sung by Bryan Hymel, acclaimed for his role as Énée in Les Troyens for The Royal Opera and the Metropolitan Opera, this is an unmissable experience.