Ce premier disque de Jérémy Bruger recèle de bien belles promesses, de celles qui permettent de croire en l’avenir du jazz. Ce jeune pianiste a écouté Herbie Hancock, Ahmad Jamal mais aussi Hank Jones, Junior Mance, Ray Bryant et Kenny Drew dont il interprète quelques-uns des titres intercalés entre ses propres compositions. Puisant ainsi aux meilleures sources, Jérémy Bruger est en pleine progression et il ne tardera pas, si l’on en juge par les étincelles qui crépitent çà et là dans ses interventions, à marquer du sceau de sa personnalité un discours pianistique déjà brillant. Il en a la volonté et le talent. Il sait jouer le blues, il swingue avec aisance et possède un beau toucher. Il écoute ses partenaires et sait où il va. Il a aussi la chance de disposer avec Mourad Benhammou et Raphaël Dever, de deux complices de haute volée, de ceux que l’on aime avoir à ses côtés, et qui soutiennent remarquablement sa démarche (« Alpha »).
The world premiere recording of John Tavener’s Lament for Jerusalem in its “Jerusalem version” performed by the Choir and Orchestra of London under the direction of Jeremy Summerly. Soprano Angharad Gruffydd Jones and counter-tenor Peter Crawford are the featured soloists.
A peerless interpreter of ballads, standards and blues, singer Etta Jones had a knack for conveying uncommon emotional power in a popular song form, just like her biggest influences Billie Holiday and Dinah Washington. Etta's soulful, long-standing partnership with tenor saxophonist Houston Person was one of the great teams in Jazz, as evidenced by these definitive sessions from the 70's.