Jubilate Deo

Marenzio spent much of his later career in the service of influential ecclesiastical patrons in Rome, in particular Cardinal Luigi d’Este, a member of the ruling family of Ferrara, important patrons of the arts. After the cardinal’s death he was for a time in Florence in the service of Ferdinando de’ Medici, Grand Duke of Tuscany. He was a prolific composer of vocal music and is best known today for his madrigals, although he wrote a considerable quantity of sacred music.Characteristic madrigals by Marenzio, on the usual pastoral subjects, include Cruda Amarilli (‘Cruel Amaryllis’) and Care mie selve (‘My Beloved Woods’), settings of Guarini. Marenzio published a number of collections of madrigals for four, five or six voices and is of historical importance in the development of the Italian madrigal, imitated towards the end of the 16th century in England. These compositions, over 400 in number, include settings of verses by Dante, Petrarch, Ariosto, Guarini and Tasso.

Marenzio spent much of his later career in the service of influential ecclesiastical patrons in Rome, in particular Cardinal Luigi d’Este, a member of the ruling family of Ferrara, important patrons of the arts. After the cardinal’s death he was for a time in Florence in the service of Ferdinando de’ Medici, Grand Duke of Tuscany. He was a prolific composer of vocal music and is best known today for his madrigals, although he wrote a considerable quantity of sacred music.

This new recording from St Paul’s Cathedral Choir celebrates 500 years of best-loved cathedral music on one album, from Tallis to Rutter, with Handel, Stanford, Mendelssohn, Parry and more between.

This new recording from St Paul’s Cathedral Choir celebrates 500 years of best-loved cathedral music on one album, from Tallis to Rutter, with Handel, Stanford, Mendelssohn, Parry and more between.

Musicien de génie, Jean-Baptiste Lully a mis dans les grands motets toute sa science musicale au service d'une intense émotion oratoire. Ces vastes compositions religieuses, au puissant caractère dramatique, étaient représentatives du faste déployé à la cour de Louis XIV. Dies Irae et De Profundis, empreints d'une très grande solennité, furent donnés lors des funérailles royales de l'épouse de Louis XIV, la Reine Marie-Thérèse d'Autriche, en 1683, en la Basilique Saint-Denis. Cette Pompe Funèbre extraordinaire fut magnifiée par les œuvres de Lully, faisant dire à Madame de Sévigné qu´à leur exécution "tous les yeux étaient pleins de larmes". Stéphane Fuget et Les Epopées -une véritable armée de généraux- restituent une version grandiose et chatoyante, théâtrale et oratoire de cette musique, l'habillant d'une abondance ornementale aux scintillements éclatants, comme le soleil fait vibrer les vitraux, les miroirs et les ors de Versailles, jusqu’au vertige de la mort.

Un inconnu vous dévoile les fastes de la Chapelle Royale de Louis XV : Charles-Hubert Gervais en fut le Maître de Chapelle dès 1723, et représente donc parfaitement la splendeur de la musique sacrée à la Cour de Versailles. Héritier des grandes fresques de Lully et Lalande, Gervais est avant tout un compositeur d’opéra, et son style dramatique fait vibrer ses Grands Motets de couleurs italiennes. Chez ce protégé du Régent Philippe d’Orléans dont il fut le musicien favori durant deux décennies, puissance d’évocation et pompe versaillaise prennent aussi pour parure le style galant. Servi comme un Roi par des interprètes magnifiques, voici Gervais tout à la gloire de Versailles !