Now, here's a star-crossed album. Polydor rejected the first version of it, produced by Glyn Johns, and Eric Clapton was forced to cut it all over again with Tom Dowd. Then, a few dates into a U.S. promotional tour coinciding with its release, Clapton collapsed and was found to be near death from ulcers due to his alcoholism. Finally, it turned out to be the final record of his 15-year association with Polydor, which therefore had no reason to promote it. Nevertheless, the album made the Top Ten, went gold, and spawned a Top Ten single in "I Can't Stand It." And the rest of it wasn't too shabby, either.
Un recueil de contes sur le thème du loup, dont l'image ambivalente a toujours suscité la crainte en même temps que l'admiration. Avec un code permettant de télécharger la version numérique. …
Ce recueil de cinq nouvelles s’adresse à des lecteurs avertis. …
Recueil de phrases pour répliquer aux gens qui enquiquinent, quelles que soient les circonstances.
Le meilleur des reparties pour moucher les emmerdeurs…
Progressive rock bands stumbled into the '80s, some with the crutch of commercial concessions under one arm, which makes the Moody Blues' elegant entrance via Long Distance Voyager all the more impressive. Ironically enough, this was also the only album that the group ever got to record at their custom-designed Threshold Studio, given to them by Decca Records head Sir Edward Lewis in the early '70s and built to their specifications, but completed while they were on hiatus and never used by the band until Long Distance Voyager (the preceding album, Octave, having been recorded in California to accommodate Mike Pinder), before it was destroyed in the wake of Decca's sale to Polygram. In that connection, it was their best sounding album to date, and in just about every way is a happier listening experience than Octave was, much as it appears to have been a happier recording experience…
Un recueil de mots et de provocations du candidat républicain à la présidence des Etats-Unis : "Je pourrais tirer sur quelqu'un, je ne perdrais pas d'électeurs"…
D’une lecture aisée et agréable, ce recueil de proses est en somme une petite phénoménologie du quotidien, où l’humour ne cesse de pointer le bout de son nez.
C’est ainsi que l’on passe d’un éloge appuyé des bancs publics, paradoxalement vif, à celui des tropiques humides, fruité à l’envi ; des saisons à la campagne où la langue se repose à celles de la ville où tout s’électrise. Qu’elles soient des villes ou des champs, ces proses poétiques ont de l’allure et de l’allant à revendre, une fraîcheur et une tonicité de bon aloi.
Recueil de nouvelles dans lesquelles un musée est assailli par des hordes de punks et défendu à la mitraillette, un écrivain se change en calamar, un chasseur de plumes de paon vit une romance avec une étrangère triste. Certaines de ces nouvelles sont parues dans des anthologies chez le même éditeur. La nouvelle Heureux comme un samoyède est parue dans la revue Brèves en 2004. …