'Rolf Riehm is […] an unconventional artist. Before him, nobody has ever sensualized in music such a complex cosmos of philosophical reflections, historical facts, myths, fairytales, memories, scientific arguments, the sublime and the trivial, current sociopolitical findings, very personal ingredients and contributions' (Bernd Leukert).
Immense fresque du système concentrationnaire en U.R.S.S. de 1918 à 1956, " L'Archipel du Goulag " (ce dernier mot est le sigle de l'Administration générale des camps d'internement) fut terminé par Soljénitsyne en 1968. " Le c¿ur serré, je me suis abstenu, des années durant, de publier ce livre alors qu'il était déjà prêt : le devoir envers les vivants pesait plus lourd que le devoir envers les morts. Mais à présent que, de toute façon, la sécurité d'Etat s'est emparée de ce livre, il ne me reste plus rien d'autre à faire que de le publier sans délai. …
A belated follow-up to bass clarinettist Thomas Savy’s earlier album Archipel with the same line-up released by the Nocturne label eight years ago it’s an immersive listen with the emphasis firmly on highly structured broadly thematic compositions with an ultimately sunny disposition that allow the players to stretch out. With guitarist Michael Felberbaum, who takes a peach of a solo on the third track ‘Archipel Bleu’, pianist/Rhodes player Pierre de Bethmann the first input we hear at the beginning of the brooding ‘No Time, No Time’, bassist Stéphane Kerecki, and drummer Karl Jannuska there’s plenty going on here with lively tempi, strong interpretative resource on Savy’s part (roughly in the Klaus Gesing domain) on a selection of compositions that include Savy’s own tunes.
Trop de larmes ont coulé sur l’Archipel de Stockholm.
Une nuit de février 1944, à Stockholm, une mère de famille est retrouvée morte chez elle, clouée au sol.
Trente ans plus tard, plusieurs femmes subissent exactement le même sort.
Dans les années 80, le meurtrier récidive mais ce n’est qu’aujourd’hui que des indices refont surface.
Britt-Marie, Hanne, Malin…
Fresque littéraire dépeignant l'univers concentrationnaire soviétique. Rédigé entre 1958 et 1967 dans la clandestinité, publié pour la première fois en France en 1974, ce texte fut censuré en URSS jusqu'en 1989…