c. j. Vincent

«Voici réunies les meilleures bios interdites, réécrites pour l'occasion, sur Word, en Times New Roman, afin d'en faire un drôle d'objet nommé Livre!
Pendant deux ans, dans l'émission Le Supplément sur Canal +, je me suis pris pour un biographe, parfois acide, souvent piquant et quelques fois surréaliste, et j'ai écrit et réécrit (un peu? beaucoup?) la vie d'une tripotée d'hommes et de femmes, politiques pour la plupart. …

Fascinated by the interplay of echoes from one past to another, Vincent Dumestre and Stéphanie d’Oustrac found an affinity in the project Mon Amant de Saint-Jean , their very first collaboration, and aimed to make it a unique musical adventure: a recital in which the atmosphere of the chansons of the Années Folles infuses early music with its sweet madness. In 1904, the great cabaret singer Yvette Guilbert was invited to the home of the Casadesus family, the founders of the Société des Instruments Anciens (Early instrument society): the Baroque fraternised with the café-concert. Around the same time, in the revue Paris qui chante, an aria by Scarlatti rubbed shoulders with the coarse language of Aristide Bruant and Paulin, while Gaston Dumestre, a singer at the cabaret Le Chat Noir (and one of Vincent’s ancestors!), sang chansons réalistes while accompanying himself on the theorbo presented to him by Oscar II of Sweden: ‘It is in language that we must seek the common driving force. These cabaret singers relished a very special flavour, a vigour, a raciness in the words of the Baroque era’, concludes Vincent Dumestre.

Dans cette autobiographie, l'humoriste raconte son parcours d'enfant abandonné qui, à la naissance, était prénommé Franck ainsi que sa carrière marquée par divers aléas et par un passage au Club Med qui lui a été salutaire. Sa sensibilité l'a notamment amené à retrouver sa mère biologique et à lui confier son amour. …

En 1849, le jeune Atanasio, venu de Toscane, apprend en arrivant à Genève la mort de son protecteur, le prince Giancarlo Malcessati, dit don Carlo. Il découvre qu'il était son père et qu'il l'a chargé dans son testament de le venger en tuant tous ses ennemis. …

Au coeur d'Hollywood, J. Mankiewicz invente la complicité : une façon de jouir du spectacle sans être dupe. Le double de Mankiewicz est à la fois ce spectateur "affranchi", complice, et le personnage évanescent que tant de films évoquent, une ombre capable de surgir de l'intrigue à tout moment. Prix du meilleur livre français 2011 (Syndicat de la critique de cinéma)…