Inspirée par ses nombreux voyages et par ce qui a façonné les racines du Québec, Louise Caron boucle habilement cette histoire déchirante dans laquelle les personnages, dépeints avec charme et authenticité, donnent raison de croire au triomphe de l'amour sur les pires adversités. …
« La pandémie de Covid-19 qui a stupéfié la planète est un avertissement. Et c'est peut-être le dernier : nous sommes allés trop loin dans la destruction des écosystèmes et la maltraitance animale.
Cette revanche de la nature sonne le glas du monde d'hier, dominé par la surconsommation aveugle et l'exploitation immorale du vivant. …
Des réflexions atypiques sur la littérature, de S. Beckett à L. Bloy, en passant par P. Sollers, J. de Maistre, F. Migneco, E. Pound, P. Valéry ou Cicéron. …
Bientôt, nous ne mangerons plus de viande. Nous cesserons de tuer des êtres vivants - 60 milliards d'animaux chaque année - pour nous nourrir. En effet, en 2050, nous serons près de 10 milliards, et nos ressources en terres et en eau seront insuffisantes pour que le régime carné continue à progresser. Mais au-delà des raisons économiques et écologiques, la science tend à prouver que, contrairement à ce que nous avons longtemps cru, les animaux exploités sont des êtres sensibles, intelligents et sociaux. …
Dans le troisième volume de son projet philosophique, M. Caron donne son accomplissement au système qu'il a élaboré, appelé antéréalisme ou système diaphorématique transcendantal. De son point de vue, cette doctrine de l'être surpasse les développements atteints dans l'histoire de la discipline, de Platon à Heidegger, en passant par Duns Scot, Maître Eckhart, Luther, Montaigne et Descartes. …