Initié par les romans de science-fiction de l'écrivain Frank Herbert, l'univers de Dune est à la base d'une franchise ayant généré un grand nombre d’œuvres dans des domaines très variés.
La saga romanesque de Dune a débuté avec le roman éponyme en 1965. Le cycle initial écrit par Frank Herbert comporte 6 livres. …
Connu pour sa loyauté, Leto Atréides est duc de Caladan et père de Paul-Muad'Dib. Là où d'autres intriguent, il agit pour la planète sur laquelle il règne. Pourtant, ses ennemis pressentent qu'il tente d'étendre ses pouvoirs. Il s'attire ainsi la faveur de l'empereur Padishah Shaddam IV, mais également la colère de la maison Harkonnen. Le souverain doit désormais choisir entre le devoir et la vie. …
Il n'y a pas, dans tout l'Empire, de planète plus inhospitalière que Dune. Partout des sables à perte de vue. Une seule richesse: l'épice de longue vie, née du désert, et que tout l'univers achète à n'importe quel prix. Richesse très convoitée : quand Leto Atréides reçoit Dune en fief, il flaire le piège. Il aura besoin des guerriers Fremen qui, réfugiés au fond du désert, se sont adaptés à une vie très dure en préservant leur liberté, leurs coutumes et leur foi mystique. Ils rêvent du prophète qui proclamera la guerre sainte et qui, à la tête des commandos de la mort, changera le cours de l'histoire. …
Dame Jessica, mère de Paul et concubine de Leto Atréides, est respectée par les habitants de Caladan. Bientôt, elle doit faire face à son passé lorsque le Bene Gesserit, son ancien ordre, s'apprête à décider si sa loyauté est plus importante que l'amour de sa famille.
Of the many recordings electric bass guitarist Hugh Hopper has produced over three decades since leaving Soft Machine, this one might be the bravest and most distinctly innovative and atmospheric of his career. With the bassist teamed with keyboardist and vocalist Yumi Hara Cawkwell, the paradox of a hot, steamy desert caravan as opposed to cold and bleak deep space is somehow conjured and realized. While Cawkwell has an ethereal quality to her wordless vocals and a free sense of spatial time, Hopper uses his typical probing basslines and mixes them up with sharply framed electronic passages and the kind of forsaken, foreboding imagery heard in the most macabre movie soundtracks.