Goulag

Selon Jean-Jacques Marie, plus que son virage libéral (beaucoup plus détaillé d'ailleurs chez Knight et surtout Thom), c'est sa volonté de réduire le pouvoir du comité central du parti communiste d'Union soviétique au profit, d'une part des organes de l'Etat, d'autre part des structures locales dudit parti communiste, qui a causé la chute de Beria. Son vrai crime, aux yeux de ses pairs, n'était pas tant l'amnistie partielle des déportés du goulag ou sa critique de la direction est-allemande qu'une simple réforme administrative qui aurait pu remettre en cause le pouvoir des dignitaires du comité central sur la nomenklatura. …

Grand reporter, Gabriel Linhardt, la cinquantaine, vit à Paris. Guitariste, c'est un passionné de jazz qui se produit dans les bars de la capitale. …

Sur le siècle du totalitarisme, voici un essai majeur qui s'inscrit dans la lignée des livres de François Furet et Jean-François Revel. …