Trois cent mille morts depuis 2011, une paix improbable. Pourquoi la guerre en Syrie est-elle une catastrophe globale ? En quoi les puissances occidentales sontelles aussi responsables de cet échec politique, militaire et moral ? Au nom de quoi ce désastre pourtant annoncé a-t-il été nié ? Et comment la France a-t-elle perdu une partie essentielle au regard de son histoire comme de sa vocation et de ses intérêts ? Le Levant, le Grand jeu, Sykes-Picot, le déchirement libanais, la lutte entre sunnites et chiites, la tragédie des chrétiens mais aussi les Assad, le terrorisme, les frères musulmans, le néo-califat, et en arrière-plan Washington, Ankara, Moscou, Téhéran, La Mecque …
Between Die Entführung aus dem Serail and the advent of the famous ‘Da Ponte trilogy’, Mozart threw himself frantically into the search for the right libretto, capable of taking the spectator to lands still unexplored where the drama and the psychology of the characters would be sublimated by the music. Hence, in the years between 1782 and 1786, he set up a veritable laboratory for dramatic music: a musical corpus of concert arias, sketches, and stylistic exercises like the canon – here brilliantly organised as an imaginary dramma giocoso in three scenes, each heralding in its own way one of the summits to come: Figaro, Don Giovanni, Così.
Au printemps 2011, la Syrie bascule dans une crise politique qui se mue très vite en une atroce guerre civile. En trois ans, ce conflit a fait 150 000 morts, des millions de réfugiés et causé des dégâts irréversibles au patrimoine culturel. Pourquoi ne pas l'écrire ? Sur le dossier syrien, l'Occident s'est trompé. D'erreurs d'appréciation en déclarations intempestives, les grandes puissances, dont la France, ont donné la pénible impression d'une diplomatie de l'improvisation…
Au printemps 2011, la Syrie bascule dans une crise politique qui se mue très vite en une atroce guerre civile. En trois ans, ce conflit a fait 150 000 morts, des millions de réfugiés et causé des dégâts irréversibles au patrimoine culturel. Pourquoi ne pas l'écrire ? Sur le dossier syrien, l'Occident s'est trompé. D'erreurs d'appréciation en déclarations intempestives, les grandes puissances, dont la France, ont donné la pénible impression d'une diplomatie de l'improvisation…