Dans ce livre, j'ai tracé une esquisse de cette femme qui a été ma mère et qui est partie trop vite, en mélangeant anecdotes et réflexions, moments dramatiques et humoristiques, en me promenant entre l'avant et l'après départ de mon père. De courts chapitres, de petits tableaux ne livrant que les impressions qui restent en mémoire, pour raconter celle que j'ai eu très peu de temps pour côtoyer. …
Dans ce livre, j'ai tracé une esquisse de cette femme qui a été ma mère et qui est partie trop vite, en mélangeant anecdotes et réflexions, moments dramatiques et humoristiques, en me promenant entre l'avant et l'après départ de mon père. De courts chapitres, de petits tableaux ne livrant que les impressions qui restent en mémoire, pour raconter celle que j'ai eu très peu de temps pour côtoyer. …
« Voilà la mère que j’ai eue, la mère qui a fini par tant dépendre de moi. Imprévisible, obstinée, têtue, incernable, méfiante, manipulatrice, exigeante, quelque peu sorcière, soucieuse de tout contrôler, de tout maîtriser. Je mettais ces caractéristiques sur le compte du danger qu’elle devait ressentir à être d’une autre culture, d’un autre âge, d’un tout autre monde que celui dans lequel nous vivions. …
A 5 ans, en rentrant de l'école, R. Lamara apprend que sa mère est morte. Pendant des années, alors qu'il croit à la version d'une chute accidentelle, il découvre finalement que sa mère a été assassinée de 22 coups de couteau par son mari. Il témoigne de son enfance, marquée par un père violent et incestueux. …
« Une vie. Une simple vie, écrite avec limpidité par une grande dame kabyle, d'abord en 1946, puis en 1962, avant que la mort ne vienne la prendre en Bretagne, le 9 juillet 1967, à quatre-vingt-cinq ans. Fadhma Aïth Mansour Amrouche, la mère de Taos et de Jean, a quitté cette terre, mais elle nous reste présente, par ces pages où l'on retrouve les travaux et les jours, les naissances, les morts, le froid cruel, la faim, la misère, l'exil, la dureté du cœur, les mœurs brutales d'un paye rude… » - Vincent MONTEIL …
Un récit bouleversant sur un sujet sensible qui nous concerne tous un jour ou l'autre : l'accompagnement d'un parent en fin de vie.
La lettre d'une fille à sa mère. Pendant deux ans et demi, Marie-Sabine Roger a visité sa mère placée en Ehpad, avant qu'elle ne décède, à 94 ans, quelques semaines avant le confinement. Très vite, la vieille dame est rendue incontinente et grabataire, faute de personnel à ses côtés. Les mains n'obéissent plus, la mémoire s'évapore, la dépression s'installe. …
Un soldat américain a baisé une jeune fermière vietnamienne. D’où le fait que ma mère existe.
D’où le fait que j’existe. D’où le fait que : pas de bombes = pas de famille = pas de moi. …
Un soldat américain a baisé une jeune fermière vietnamienne. D’où le fait que ma mère existe.
D’où le fait que j’existe. D’où le fait que : pas de bombes = pas de famille = pas de moi. …
E. Laborit est née sourde profonde. Ce livre, écrit alors qu'elle avait 23 ans, retrace son enfance et son adolescence. Un appel à la vie et à l'amour de cette femme qui se bat pour faire reconnaître l'identité et les droits des non-entendants français. Avec un dossier pédagogique et un carnet de lecture. Des extraits lus par une comédienne sont accessibles via une application. …